Eva devient notre coach - Histoires de Sexe

Eva devient notre coach

... ; elle me dirige des ses mains, d’une manière ferme. Elle m’écarte lorsque je suis trop virulent, elle me colle encore plus lorsqu’elle me veut plus présent. Je suce, je lape, mordille, aspire ; mon sexe est coincé et me fait mal. Elle se rassied sur mes genoux, son visage est rouge. Je prends ses seins dans mes mains, elle me repousse, elle se penche sur moi et m’embrasse. Puis elle ramasse son soutien-gorge qu’elle replace, rattache et positionne les bonnets parfaitement sur ses seins.

Je la regarde et me dis que je me suis habitué à elle, que je ne la regarde plus comme je le devrais. Elle met son peignoir et va se rasseoir sur le canapé en face de moi.

— J’ai vu Eva aujourd’hui.
— Je sais, c’est mercredi.
— Oui et on a beaucoup parlé.
— De ?
— De toi, de moi et d’Aline.
— Ah !
— Elle m’a dit que c’était étonnant que ça ne te soit pas arrivé avant, d’avoir envie de sauter sur une jeunette, que c’est normal et surtout que c’est parce que l’on est devenu des amis, des complices, mais plus des amants. On fait l’amour par habitude mais sans chercher le plaisir, sans chercher à contenter l’autre.
— C’est vrai, c’est souvent le cas dans les couples.
— Je suis ta femme, ton amie et je veux redevenir ta maîtresse, je veux que tu me regardes comme il y a quinze ans, que tu aies envie de me voir, de m’embrasser, de me caresser. Je veux que l’on redécouvre le sexe ensemble. J’ai aimé que tu me caresses et t’offrir mes seins, me forcer à faire d’autres choses.
— Tu ...

... n’as aucune obligation, je vais faire plus attention à toi.
— Je ne veux pas que tu fasses attention à moi, je veux que tu me baises comme tu aurais aimé baiser Aline.

Là, je fus surpris par Carole, si calme et posée, ces mots ne correspondent pas à son tempérament. Elle le sent et continue :

— Je me suis rendu compte que je suis jalouse, je ne crois pas que tu me quitterais pour une autre, mais le fait que tu donnes du plaisir à une autre me gêne ; que tu lui fasses ce que tu ne me fais pas, qu’elle te connaisse mieux que moi, non ! je ne le supporterais pas.
— Mais il ne s’est rien passé. Tu étais là.
— Comment aurais-tu réagi si je n’avais pas été là ? Tu l’aurais embrassée devant nos amis, tu l’aurais raccompagnée, bu un dernier verre ?
— Non, je ne…
— Tu n’en sais rien. Tu as perdu le contrôle samedi dernier, ne dis pas le contraire, comment aurais-tu réagi si les rôles avaient été inversés. Que feras-tu le jour où je danserai serrée dans les bras d’un autre, ses mains sur mes fesses ?
— Je ne sais pas. Je te demanderais sûrement d’arrêter et de ne pas te donner en spectacle.
— C’est pour cela que je me suis rendu compte que je suis jalouse ; j’ai regardé sur ton portable s’il y avait un nouveau numéro de téléphone, et Eva m’a dit que, quoi que je découvre, quoi qu’il se passe, seul l’amour peut être plus fort ; et qu’aussi fidèle que tu veuilles l’être, tu seras toujours tenté de manger le fruit défendu.

Que répondre à de tels propos, je préfère lui prouver ...