1. Le Joeut Sexuel du Patron Ch. 10


    Datte: 09/12/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    Le jouet sexuel du patron Ch. 10
    
    Coulybaca / wifelvrman
    
    Récit de Georges:
    
    Déborah est maintenant devenue officiellement une prostituée.
    
    Elle m'a dit qu'elle avait gagné ses premiers 250 $ sous la houlette d'Amy.
    
    Elle a sucé et a baisé avec son premier client dans sa voiture alors qu'ils stationnaient derrière un bâtiment vers de la ville, il lui a donné 100 $. Il l'a donné $100.
    
    Elle l'avait sucé pendant qu'il conduisait lentement dans le quartier.
    
    Sa bite avait gonflé, gonflé, jusqu'au moment où il avait largué quelques gouttes de pré-semence dans la bouche de Déborah, c'est alors qu'il s'était garé derrière le bâtiment et qu'il l'avait enfourchée allongée sur le siège arrière, il lui avait peloté les nichons à nu tout le temps de sa per-formance, n'importe quel passant aurait pu se rendre compte qu'elle se faisait baiser à l'arrière d'une voiture.
    
    Puis elle avait de nouveau arpenté la rue et s'était entendue avec une paire de jeunes gaillards qui se firent sucer, elle dut avaler la fumée.
    
    L'un des deux la doigta la durée de la pipe (elle ne s'attendait pas à cela) qu'elle accordait à l'autre. Il lui commanda de fermer étroitement sa bou-che alors qu'il déversait des torrents de foutre dans son arrière gorge.
    
    Le second gicla tout de suite et couvrit son visage de foutre chaud et gluant avant de retourner dans sa bouche pour qu'elle lui tarisse les bur-nes.
    
    Puis elle appartint à un petit vieux bedonnant, il n'avait que 60 $ elle le suça ...
    ... pourtant et se fit baiser à sa convenance sachant qu'elle pourrait retourner chez elle ensuite.
    
    Sa bite était courte et grasse, il ne l'avait pas lavée depuis longtemps.
    
    Elle eut du mal à guider sa queue dans sa chatte dans l'étroite voiture, elle avait bien du mal à le garder en elle, il la prit à la taille la serrant contre son ventre tandis qu'il la possédait.
    
    Sa bouche était juste à hauteur de ses nibards qu'il suçait et mordillait frénétiquement, il lui laissa des marques rouges sur les aréoles.
    
    Amy l'emmenait travailler en ville au moins une fois par semaine, géné-ralement le vendredi soir. Plusieurs fois elle m'emmena avec elle.
    
    Elle faisait descendre Déborah et elle se garait la voiture et on la regar-dait assurer ses passes.
    
    La première fois que je la vis grimper dans la voiture d'un étranger, cela me tracassa réellement. J'étais extrêmement gêné.
    
    Rien que de la voir déambuler le long de la rue les nibards et les fesses bien à l'air me choquait profondément.
    
    Lorsqu'elle se penchait par la vitre des voitures, je savais que ses ni-bards étaient libres de toute entrave et je voyais ses futurs clients les empoigner comme pour estimer la marchandise.
    
    Amy me fit acheter des préservatifs pour Déborah.
    
    Elle a utilisé 12 capotes vendredi dernier, c'est le maximum de clients qu'elle se soit fait en une nuit.
    
    Elle rapporta environ 800 $ cette nuit là.
    
    Amy lui prend tout l'argent, elle en donne une partie à un maquereau lo-cal qui autorise Déborah à ...
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