Banquière perverse (25)
Datte: 09/12/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
Rappel du chapitre précédent.
Nous avions invité Sophie à passer deux ou trois jours avec nous, avec la ferme intention de jouer avec elle ; mais surtout pour écrire le projet de la fameuse pièce de théâtre porno que nous espérons pouvoir jouer. Elle arriva trempée jusqu’aux os et nous raconta les mésaventures qui lui arrivèrent pendant son trajet. À l’idée de jouer en public, elle accepta avec enthousiasme et nous partîmes acheter son costume de scène qui se résumait en une simple tenue d’écolière. Gladice l’obligea à se caresser alors que le rideau était resté ouvert ; elle eut d’ailleurs un terrible orgasme. Après avoir mangé et beaucoup parlé du projet, nous sommes rentrés ; moi tout seul à conduire et les filles derrière.
— ooOoo—
— Allez chauffeur, à la maison ! m’ordonne Gladice en riant.
— Bien Madame !
Je démarre et me voilà englué dans les embouteillages, mais cela ne perturbe pas les filles qui semblent très occupées. À un moment, dans le rétroviseur, je vois disparaître la tête de Sophie et j’entends les soupirs de Gladice qui passent rapidement au stade de gémissement puis aux : ut « Ah ! Ouiii… ! Continue ! Encore ! Plus fort ! Humm ! C’est bon… ! »
Je suis troublé par les gémissements de ma belle au point que j’ai failli emboutir la voiture devant moi qui venait de freiner. Après une heure de circulation en accordéon et autant de temps de gémissements de la part Gladice et de Sophie, nous arrivons enfin à bon port.
Sitôt entrée dans la ...
... maison, Sophie s’éclipse prétextant une envie pressante ; nous profitons de ce moment d’intimité pour nous embrasser avec passion. Pour respecter la règle nous nous déshabillons entièrement et Gladice me chuchote :
— Nous allons nous amuser un peu avec elle, d’accord ?— Si tu veux et on fait quoi ?— Laisse-moi faire, et obéis !
Gladice a à peine terminé sa phrase que Sophie fait son apparition, et est toujours habillée.
— Dis donc, petite effrontée ! Tu ne respectes pas la consigne !— Mais…— Il n’y a pas de mais ! Issam ! Emmène-moi ça dans la chambre !
Sans attendre, je saisis la coupable par la taille et la charge sur mon épaule comme un vulgaire sac de sable. Elle gesticule dans tous les sens, bat des pieds au risque de glisser et de tomber. Pour éviter qu’elle ne m’échappe, je passe ma main sous sa robe et lui agrippe les fesses que je tiens fermement pour la bloquer.
— Mais ça n’va pas ! Vous êtes fous !— Silence ! crie Gladice. On va t’apprendre à respecter les règles !— Mais j’allais me déshabiller !— Trop tard ! Jette-moi ça sur le lit !
Elle laisse échapper un « Ah ! » de surprise au moment où je fais presque voler mon sac de sable sur le lit, et un autre quand elle rebondit sur le matelas. Gladice se jette sur elle et lui arrache sa robe qui se déchire en deux.
— Mais tu es folle, tu m’as déchiré ma robe ! Et comme je vais rentrer chez moi ?— À poil, pardi !— T’es malade ! Je ne vais pas me balader à poil dans la rue, je ne tiens pas à me retrouver ...