1. Vacance chez mon oncle. (1)


    Datte: 08/12/2020, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: limog, Source: xHamster

    ... Elle s'approcha de la fenêtre pour confirmer ce à quoi elle avait pensé. Elle était collée à moi, je sentais son parfum de vanille. Malgré moi, ce parfum, cette situation, cette proximité, je sentais l'excitation remonter en moi.
    
    J'hasardai un regard vers Maria. D'un geste brusque, elle agrippa mon sexe et le serra fortement.
    
    « Sale petit pervers ! Elle te plaît ma fille ? T'aimes ça te branler devant elle ? »
    
    J'étais choqué par cette réaction, par ce contact entre mon sexe durcissant et cette main si chaude, si douce, qui me malaxait le sexe. Je devais être rouge de honte, je n'osais pas lui répondre...
    
    « Mais c'est que tu bandes en plus ! »
    
    Je ne pouvais le nier. Maria ne m'avait jamais intéressé, son âge, son corps bien en chaire et ses deux gros seins tombants... Rien ne m'intéressait chez elle. Pourtant, cette douce main qui glissait sur mon intimité, ce premier contact entre mon sexe et une autre personne... C'en était trop pour moi.
    
    « Ça te plaît que je te touche, sale petit pervers ? »
    
    Je répondis par un timide « oui ». Sa main quitta mon sexe et s'approcha de son visage, je vis ses doigts couverts d'un restant de sperme. Elle regardait le précieux liquide, puis me fixant droit les yeux, elle porta ses doigts à sa bouche.
    
    « Salé, dit-elle, comme ton oncle. »
    
    La révélation me frappa, mais je n'eus pas le temps d'y réfléchir. En un rapide mouvement, Maria s'était agenouillée et avait repris sa caresse avec plus de vigueur.
    
    Je croyais rêver ...
    ... ! Je fermai les yeux, laissant l'excitation monter de nouveau en moi. Je ne contrôlais plus les petits gémissements qui sortaient de ma bouche. Cette main douce, experte, qui me branlait avec frénésie, je ressentais un divin plaisir à chacun de ses mouvements. J'étais sur le point de jouir une seconde fois, Maria le sentit et d'un coup sec du poignet elle fit exploser mon éjaculation. Mon sperme alla se répandre sur son visage et sur le galbe de ses gros seins qu'offrait son décolleté. Mon cœur battait la chamade, je ne m'étais jamais senti si soulagé, si vide de toute semence... Quel bonheur ! Mon sexe était encore parcouru de spasmes.
    
    Maria se releva et, en me fixant dans les yeux, elle continua le va-et-vient sur mon sexe. Mais malgré cette caresse je ne bandais plus. Je ne pouvais pas faire ça une troisième fois. Elle le comprit et laissa retomber mon sexe mou avec un air de regret. Ses doigts vinrent récupérer le sperme sur son visage, elle suçait ses doigts avec passion, elle dégustait mon sperme.
    
    « Si tu dis rien à ton oncle, je ne dis rien à ma fille. »
    
    J’acquiesçai de la tête, toujours incapable de parler... Maria reprit son panier comme s’il ne s'était rien passé, puis se retournant elle me fixa.
    
    « C'était rapide, j'espère que demain tu seras plus en forme que ça ! »
    
    Elle quitta ma chambre sans attendre ma réponse. Sa phrase ne laissait aucun doute, elle ne comptait pas en rester là ! J'avais raison de croire que ce mois d'août serait différent, mais ...