Cheat-Code (2)
Datte: 08/12/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Clover, Source: Xstory
... un petit vagin et je n’eus alors qu’une envie, goûter à cette chair rose, brillante. Mais pas comme avec Sandra. Non. Ma patronne éveillait des pensées bien plus violentes. Je ne voulais pas lui faire l’amour. Je voulais la prendre, la posséder complètement.
Le conseil « Pénétrer » qui s’afficha brusquement fut superflu. J’avais déjà baissé mon pantalon, extirpé mon sexe et, dans un état second, je me glissais en elle. Elle fit une légère grimace, mélange de surprise et de douleur, lorsque mon gland étira son délicat vagin. Son humidité s’écoula aussitôt autour de mon sexe pour s’égoutter lentement sur le cuir du siège. Je m’empalai aussi profondément que possible. Un long souffle d’air s’échappa de ses narines.
Si je n’avais pas joui comme jamais entre les seins de la belle Sandra, je n’aurais pas tenu plus d’une microseconde dans cet étau moite. Je n’avais aucun point de comparaison, mais les sensations que me procurait la chatte incroyablement serrée de ma patronne explosaient tout ce que j’avais pu imaginer. Comme quoi, la réalité dépasse bien souvent la fiction.
D’ailleurs, en parlant de réalité, celle de ma situation me frappa d’un coup. Bordel, ma patronne... Je baisais ma patronne !
J’entamai une série de va-et-vient comme pour confirmer que tout cela ne pouvait pas être qu’un rêve, ou alors, un particulièrement réaliste. Je remarquais rapidement qu’une certaine colère animait mes mouvements. Je la pénétrai à grands mouvements violents qui la secouaient ...
... sous moi, emporté par le souvenir de ses brimades, de ses regards dédaigneux et de ses soupirs d’ennui quand j’avais le malheur de lui poser une question stupide. Chacun de mes coups de boutoir était comme le remboursement pour mon ego blessé. Sous mes assauts, elle gémissait silencieusement, le visage rougi de plaisir. « Lecture de pensée », appelai-je.
— Oh putain, mais c’est trop bon ! Baise-moi fort ! Déchire ma petite chatte avec ta queue.
Bon sang, je n’aurais jamais imaginé que ma patronne puisse être une telle chaudasse. Vu son corps, cela aurait été un véritable gâchis, mais son attitude strictement professionnelle, voire carrément hostile en toute circonstance ne laissait pas deviner un tel enthousiasme sexuel. Je me propulsais en elle toujours plus fortement, profondément et brutalement. Les fines lèvres de son sexe s’écartelaient autour de mon membre et sa toison brune se pailletait d’humidité. Le fauteuil de cuir, pourtant monté sur quatre pieds solides, glissait en grinçant sous mes assauts.
Je me rappelai alors de la présence de la jauge « douleur » et je ne résistais pas à l’envie de plus en plus pressante de lui faire mal ! Je saisis un de ses petits seins qui s’agitait sous mes coups de reins. Je l’étirais dans ma main, tirant sur son téton sans aucun ménagement. Dans un râle de douleur et plaisir mêlé, elle renversa tête en arrière et bomba le torse pour s’offrir à cette torture délicieuse. Je ne me fis pas prier et j’agrippais le sein encore libre ...