Mylène
Datte: 08/12/2020,
Catégories:
f,
ff,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
init,
Auteur: Kitty Lévine, Source: Revebebe
... tête au pied, profitant de toutes les parcelles de mon corps, appréciant chaque détail, chaque souffle de vie de ma peau, de mes formes, debout au milieu de mon salon, face à moi, à moins de deux mètres.
Soudain elle se rassoit les jambes écartées, puis en continuant de me regarder, à hauteur de mon pubis, elle écarte doucement ses lèvres imberbes et me livre à son tour quelque chose d’elle.
Je mouille, je le sens, je le sais, je le vis. Mais j’ai tout mon corps à fleur de peau, cette peau que j’ai envie de lui faire connaître. C’est un sentiment bizarre, parce que nouveau. Je suis bien.
Elle aussi me regarde, les yeux rivés sur ma fine toison brune. Alors, à mon tour, j’écarte mes jambes, toujours debout. Puis, maladroitement, j’avance d’un grand pas afin de me rapprocher d’elle, j’avance mes mains et prends mes lèvres pour les écarter, me provocant, au passage un quelque chose d’électrique dans le bas-ventre. Elle fixe mes mains, immobile, puis se relève, s’agenouille à 30 cm de moi et sans un mot, détaille mon intimité. Puis elle penche la tête de côté et me susurre :
— Viens, allonges-toi sur la moquette !
Et je m’allonge, juste devant elle, à quelques centimètres. Elle en fait de même, dans l’autre sens, la tête à la hauteur de mon intimité, de profil, et un pied posé sur la table basse, dévoilant l’entrée de son vagin juste devant mes yeux. Je me tourne de profil et pose mon pied sur l’autre jambe pour lui rendre la pareille. Je sens son regard en ...
... phase avec le mien. Mon clitoris et le sien, si semblables, je les sens et je les vois. L’entrée de sa caverne trempée me renvoie à l’état de la mienne. Et mon regard, ou le sien, je ne le sais plus, découvre soudain ce que moi je n’avais jamais vu en vrai, l’entrée de son petit trou, ou bien le mien.
Un frisson intense me parcourt à ce moment. Cette pudeur que je voulais lui livrer est toujours présente. Sa présence rend ce qui se passe encore plus fort, car elle se décuple jusqu’à devenir une impudeur totale.
Soudain je vois sa main se diriger vers son paradis, et deux doigts filer vers son vagin, doucement, profondément, emmenant l’écume de son excitation. Puis d’une voix rauque, haletante, elle me dit :
— Tu sais, je crois qu’on peut exhiber autre chose qu’un corps.
Puis sortant ses doigts, et les approchant de mon nez :
— Je t’offre mon parfum. L’acceptes-tu ?
— Oui, Mylène, je l’accepte ! Pensais-je en humant cette odeur si différente et si semblable à la fois. Je comprenais bien ce qu’elle voulait me faire découvrir, ce rapprochement encore plus fort, ce don de soi. Sans lui demander, je plonge moi-même ma main dans mon intimité et lui présente mes doigts devant ce visage que je ne regarde pas, car, de nouveau, ses doigts retournent en elle. Pas longtemps, car les revoici près de mon nez. À ce moment, je sens mes propres doigts enveloppés de sa bouche, et je comprends que je passe une nouvelle porte : le goût. Offrir son goût, son odeur…
Et j’avale son ...