Je la manipule pour la posséder (1)
Datte: 08/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Désolation, Source: Xstory
... angélique. Elle était dans le couple de mes parents comme le côté jeune et frais tandis que mon père, bien plus âgé qu’elle, incarnait le sérieux et l’autorité. Il me lança:
— Voilà ce qui se passe quand on joue au plus malin Joshua.
Ma mère pleurait de plus belle, ses sanglots éclataient en écho dans la pièce. J’avais joué au plus malin en effet, mais je sentais que j’avais débloqué quelque chose en moi. Peut-être que je n’étais pas fait pour être le plus fort ou le plus intelligent. Mais toute ma vie, sans que je le sache, j’avais traversé diverses épreuves sans avoir à utiliser ces deux compétences. Par la malice, j’avais réussi quelques événements. Je devais travailler là-dessus. Je devais m’entraîner.
Ma mère, entre deux larmes, glapit:
— Tu vas rentrer à la maison cette semaine, je m’occuperais de toi mon chéri.
— Tu le couves trop Marie, c’est comme ça qu’il apprend la vie, c’est le métier qui rentre !
Effectivement, le métier était bien rentré.
Lorsque je pénétrai dans la maison de mes parents, je fus impressionné par l’odeur. En effet, cette odeur familière qui nous rappelle quelque chose de réconfortant. Je me rendais alors compte qu’il y avait un bon moment et que je n’étais pas rentré. Je me rendais compte que j’étais un très mauvais fils. Dès que j’avais eu la majorité, j’étais parti de la maison pour prendre mon appart dans la grosse ville la plus éloignée et ne voyait ma famille que lorsqu’il y avait un anniversaire au restaurant. J’avais ...
... donc cette étrange impression d’être un intrus dans cette maison. Ma mère me souffla :
— Tu peux aller mettre tes affaires là haut !
J’attrapai mon sac et grimpai les escaliers vers ma chambre, je poussai la porte et fut surpris d’apercevoir une silhouette dans mon lit. Une jeune femme allongée sur le ventre, avec un legging noir, un débardeur gris et des cheveux blonds attachés en queue-de-cheval. Sa poitrine comprimée par le matelas me sautait aux yeux. Tellement aguichante, tellement provocatrice. Des idées me bondirent tellement vite en tête. "Qu’elle est bonne !"
Je regrettai aussitôt mes pensées lorsque j’aperçus le visage de ma sœur, Juliette. Un visage à l’opposé de ma mère, assez agressif. Une panthère qu’il ne fallait pas réveiller. Elle me regarda et dit :
— Maman a pas dû te dire, mais maintenant c’est moi qui suis dans ta chambre maintenant.
— Je dors où du coup ?
— Va dans la chambre d’amis, y a une banquette clic-clac.
Je sortis aussitôt de "ma" chambre et partis déposer mes affaires dans la chambre d’ami, à côté. J’étais tout fou, cette confrontation avec ma sœur. Elle me rendait complètement fou, depuis combien de temps ne l’avais je pas vue ? Depuis combien de temps était-elle devenue aussi sexy ? Son corps n’était pas aussi formé dans mes souvenirs, et elle avait gagné du charisme. Je restais interloqué, puis une idée me traversa l’esprit tandis que je dépliais la banquette. Une idée bien trop malsaine, une idée dont la simple évocation ...