CERCLE VICIEUX...
Datte: 08/12/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Alainylon, Source: Hds
Je profitais d’être dans la même chambre que ma grand-mère pour en apprendre un peu plus sur elle. Pour comprendre son environnement, son veuvage, sa vie et ses difficultés. Sans oublier sa vie sexuelle. Surtout la vie sexuelle. Elle voulait bien mais à une condition : que j’en fasse autant. Alors sans trop entrer dans les détails. Et par touches, subtiles, je lui avais confessé deux ou trois relations avec mes voisines, Bernadette et Brigitte. Évitant de lui préciser leurs âges et leurs situations familiales.
Il m’en fallait pas plus d’être pris d’un désir profond et réel. Dans le noir, mon sexe était tendu, mes bourses gonflées et très lourdes. Dans le noir j’écoutais les confessions de ma grand-mère tout en me masturbant lentement.
À un moment, elle m’expliquait qu’elle devait se levé pour se rendre aux toilettes. À l’aide de sa pile électrique elle s’éclaira le chemin.
J’attendais qu’elle sorte de la pièce pour lui emboiter le pas. Alors que je la vis investir les toilettes, moi, j’entrais dans la salle de bains. Une cloison seulement nous séparait. Pour rejoindre mon poste d’observation, je me glisser sous la baignoire.
Putain ! Que le carrelage était froid. Je dirai même gelé. Je m’approchais au plus près de la bouche d’aération. La distance entre nous été de seulement quelques centimètres. La première chose que je vis entre les lamelles de la grille, ce fus mamie assise sur le bidet. Sa culotte blanche à la cheville. Sa chemise de nuit retroussée très haut ...
... sur son ventre. Je sortais ma verge bien raide du pyjama et la décalottant avec soin. Je commençais à la caresser avec affection. Très vite je fus alerté par les premières gouttes chaudes frappant l‘eau de la cuvette. Puis s’en suivait un déluge. La cochonne se soulageait abondamment. Puis ce fut le silence. Seulement entrecoupé par le bruit du papier qu’en déchire et avec lequel en s’essuie.
Soudain, j’entendais la chasse, puis je vis mamie se pencher pour se saisir de sa culotte et la tirer vers le haut de ses jambes. Il était temps pour moi de prendre congé, et retourner au plus vite dans mon lit.
J’étais déjà allongé quand elle fit son apparition. Par la lueur de sa pile je ne vis aucune expression sur son visage. J’avais attendu qu’elle soit sous les draps pour reprendre nos confessions.
Ce scénario s’était répété à plusieurs reprises. Durant ces séances, il m’était arrivé de jouir, bruyamment. Quand ma grand-mère me posa la question, honnêtement je lui fis part de mes méfaits.
- Tu es un gros cochon Alain ! Je mériterais que j’en parle à ta mère…
- Pourquoi tu dis ça mamie. Tu sais aussi bien que moi que tu ne le feras pas.
- Ah ! Oui et pourquoi…
- Tout simplement par que tu es une petite vicieuse. Et que tu aimes le sexe.
Elle se mit à rire.
- Bon mon petit fils, il est temps de dormir…
Un jour, elle s’était préparée pour aller avec ma mère, rendre une visite à sa belle-sœur. Pour se faire elle s’était perchait sur ses escarpins qui lui ...