1. Virginie


    Datte: 08/12/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, noculotte, Oral pénétratio, Auteur: Labase, Source: Revebebe

    ... était collée contre son cul. Elle n’essaya même pas de se dégager.
    
    — C’est pas un merci ça. Ça, c’est un merci !
    
    Ma bouche effleura tout doucement sa nuque et je sentis un frisson parcourir tout son corps. Elle tourna la tête à la recherche de ma bouche. Nos langues se trouvèrent immédiatement. Je jouai avec sa langue et ses lèvres, les attrapant, les suçant, faisant mine de partir pour revenir aussitôt. Mes mains commencèrent tout doucement à se glisser sous son chemisier. Sa peau était brûlante. Je remontai lentement jusqu’à prendre ses seins dans mes paumes. Ils étaient plus gros que je ne l’avais imaginé. Elle avait un soutien-gorge assez léger et je senti ses tétons durcir sous mes caresses. D’une main habile, je dégrafai son soutien-gorge pour libérer ses deux beaux melons. J’entendis un long soupir sortir de sa bouche et sa respiration s’accélérer lorsque mes doigts firent rouler ses tétons. Elle commença à remuer son cul toujours fermement plaqué contre ma queue qui ne demandait qu’à être libérée de mon pantalon.
    
    Je lâchai un des seins pour descendre ma main tout doucement le long de son ventre. Après avoir joué quelques secondes avec son nombril, je poursuivis lentement mon chemin. Elle avait une petite jupe très légère. Je fis remonter le tissu de sa jupe le long de sa jambe et glissai ma main entre ses cuisses. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que la cochonne ne portait pas de culotte ! En plus de ça, elle était complètement trempée. Mon doigt ...
    ... humide s’enfonça immédiatement tout en fond de son vagin. Elle poussa un petit cri mêlant la surprise au plaisir. Après quelques mouvements de va-et-vient, je le retirai pour lui titiller le clitoris. Elle devenait de plus en plus chaude et ondulait son bassin frénétiquement contre ma queue.
    
    Je la retournai brusquement, la soulevai et l’amenai jusqu’à l’échelle. Elle grimpa quelques échelons pour venir positionner sa chatte à hauteur de mon visage. D’un geste expert, je lui enlevai sa jupe. Sa petite chatte était quasi imberbe. Seul un fin filet de poils, façon ticket de métro, ornait son pubis. Magnifique. Je lui enfonçai deux doigts dégoulinant bien au fond de sa chatte en la regardant droit dans les yeux. Nous n’avions pas encore dit le moindre mot. Elle me regarda et me dit avec un petit sourire de coquine bien vicieuse :
    
    — Lèche-moi !
    
    Je ne répondis pas et continuai un moment à jouer un petit jeu de va-et-vient entre son clito et le fond de sa chatte sans la quitter du regard. Elle mit la tête en arrière de plaisir et j’en profitai pour glisser ma langue entre ses cuisses et enfin goûter son doux parfum enivrant. Elle était au bord de la jouissance. Je ralentis la cadence et la retournai à nouveau. J’avais une vue imprenable sur ce cul extraordinaire. Ferme et galbé à souhait ! Je ne pus résister à l’envie de le mordre et le lécher. Je repris alors l’exploration de sa petite chatte à coup de doigts et de langue. Ma langue remonta lentement le long de sa chatte ...
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