1. Mon fantasme jamais réalisé


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Jolasuce, Source: Hds

    Avant de partager avec vous un dernier récit homo réel, je vais toute fois, déroger à la règle “pas de fantasme” en vous racontant un fantasme fondé sur du vécu mais jamais assouvi et qui hante mes rêves. Lors d’une visite dans un foyer de travailleurs, je venais saluer quelques résidents que j’avais connus à l’époque où j’étais moi-même résident. Il y avait là une colonie de Turcs qui avaient l’habitude de se rassembler dans une des cuisine commune que l’on trouve au bout du couloir de chaque étage, je connaissais la plus part d’entre eux. En venant les saluer, l’un d’eux m’a fait la grimace d’un baiser, cela m’a troublé et je l’ai été plus encore quand il m’a serré la main, son petit doigt m’a chatouillé le creux de la main. La proposition était, certes discrète, mais sans ambiguïté, je n’ai pas donné suite et je le regrette encore aujourd’hui. Mon imagination me laissant entrevoir ce qui aurait pu se passer avec moi. Dans ce foyer de célibataires forcés, venaient nuitamment une pute qui était vendue par son maquereau, les gars se l’enfilait, il y avait une queue devant la chambre dédiée à la baise.
    
    Voilà le récit imaginé mais qui n’a jamais eu lieu. À ce Turque qui me chatouille la main, je lui demande de voir sa chambre. Surpris de mon audace, il m’invite à l’accompagner, un autre, en turque, lui demande ce qu’il va faire, il lui explique qu’il va passer une nuit de baise et l’autre lui demande s’il acceptera de partager sa proie. « Quand j’aurai vidé mes burnes je te ...
    ... le laisserai et tu me le rendras au bout de la nuit ». Il m’ouvre la porte, la chambre est tapissée de femmes à poiles. Il me pousse à l’intérieur plaquant son sexe contre mes fesses. La porte refermée, il me dit « fous-toi à poiles que je vois tes fesses et suce-moi. Sitôt nu, je suis sur sa queue qui devient vite ferme. il est debout, je suis penchée sur sa tige que j’astique de mon mieux. N’en pouvant plus, il me pousse vers le lit pour que, courbé, je prenne appui. Il me pénètre avec puissance, jusqu’à l’explosion interne. Je me remets sur mon ouvrage bien ramolli après l’éjaculation. On frappe à la porte. Celui qui avait demandé ce qu’on allait faire est entré. Mon partenaire lui dit « tu peux l’emmener, je garde ses vêtements pour qu’il me revienne ». J’ai demandé la faveur d’avoir les yeux bandés, ne voulant pas savoir qui, parmi les connaissances, allaient abuser de moi. Il m’a pris la main et m’a conduit comme on conduit un aveugle. Déjà des mains furtives commençaient l’exploration, devant, derrière, le ventre, les fesses, ma verge fièrement bandée et provocatrice. Quelle excitation de me savoir nu au milieu de gens tout habillés mais prêt à une dégustation gratuite de ce petit jeune blanc-bec.
    
    J’ai compris, connaissant les lieux, qu’on me conduisait dans la cuisine, la pièce commune pour une sorte de gangbang. Effectivement, on m’a fait allonger sur le dos, la tête légèrement renversée. Déjà une queue s’imposait à bouche ouverte et j’ai senti mes jambes relevées ...
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