Plage (1)
Datte: 07/12/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Bobby1, Source: Xstory
... Lentement, il la pénétra.
— Ooooh ! Ouiiii ! C’est bon ! Oh mon chéri, je suis toute mouillée.
Les balancements de son corps et ses regards enfiévrés m’électrisèrent. Je m’astiquai.
— Mmmmh, ça te plaît, on dirait.
— Je suis trop excitée mon amour !
Elle me caressa. Les coups de reins se firent plus rapides. Elle poussa un cri rauque, tenta de s’arrimer au sable et hurla un oui tonitruant. Les secousses s’intensifièrent, ses gémissements aussi.
L’invité commença à ralentir ses mouvements. Mais elle lui imposa son rythme. Il ahana. Elle me jeta un regard sulfureux, m’agrippa le sexe et me branla furieusement.
— Tu veux un peu de crème solaire ma chérie ? demandai-je en souriant, alors que je récupérai le lubrifiant.
Elle se mordit la lèvre et se déhancha.
— Mmmmmh ! T’es un gros obsédé mon chéri ! lança-t-elle.
Elle m’embrassa fougueusement pendant que j’ouvrais le tube. J’en fis couler abondement entre ses fesses et branlai son petit trou avec énergie. Je sentis l’autre se retirer et faire glisser son sexe sur le dos de ma main. Je repris le lubrifiant et en aspergeai la verge impatiente. Celle-ci commença à s’immiscer délicatement. Ma femme se cambra et ferma les yeux. La bite s’arrêta un instant dans sa progression. Le partenaire, mâchoire serrée, semblait prêt à exploser. Ma femme se masturba, gémit, et la ...
... pénétration reprit.
— Ça te fait du bien ma douce ? m’enquis-je.
Les yeux mi-clos, elle murmura des « mmmh », des « oui » et des « c’est bon ». Les va-et-vient s’accélérèrent. L’expression de sa jouissance s’amplifia. Le voyeur se permit de donner deux claques qui lui rosirent immédiatement les fesses. Alors, elle lâcha prise et, surgirent de sa bouche, des flots de mots crus. Certains m’étaient adressés, les autres étaient à l’attention du profiteur. Ils traduisaient à la fois son bien-être et son excitation (voir bas de page). En réponse à celle-ci, l’enculeur lui saisit les épaules et la pilonna littéralement. Elle poussa des cris de plaisir saccadés et puissants.
Le voyeur, n’y tenant plus, se retira et s’allongea à côté de moi.
Toujours cambrée, en transe, elle retira la capote qui couvrait la verge, s’empara de nos deux sexes raides, et nous branla férocement. Le type grogna et éjacula. Le sperme coula le long de son mandrin, sur les doigts de ma douce qui ne cessait pas de le briquer. Il râla à nouveau et gicla encore. Avec une main, il lui saisit la nuque et la guida vers sa verge crémeuse. Elle lui lécha d’abord les bourses, remonta et s’attarda sur la fraise violacée. Je vins à mon tour.
Elle me jeta un regard enflammé et s’occupa de moi, aspirant mon jus. Ayant eu son compte, le voyeur se redressa et disparut au loin.