1. La Pu tain à blacks


    Datte: 07/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... monstrueux. J'étais à la fois horrifiée et attirée par le
    
    phénomène. Manifestement cela la faisait grimper au ciel. Je l'enviais.
    
    Je me dis que je n'avais jamais atteint à une telle jouissance. Il était
    
    patent que mon mari m'avait dédaigné sur ce plan. A plus de quarante ans
    
    je voyais ma jeunesse inéluctablement s'enfuir. J'étais furieuse que la
    
    truie bénéficiât d'un régime qui m'était refusée. Cependant assumer le
    
    chemin jusqu'à l’adultère requérait un effort invincible.
    
    Un temps avais-je oublié cette terrible circonstance, la venue de Traoré
    
    avait cependant rallumé mon désir pour la gente noire. L'été venu ce fut
    
    infernal. Mon beau black tout de sueur exhibait malgré lui ses pectoraux
    
    à travers un tee-shirt. Cela devint intolérable. Ma voisine s’enquit à
    
    le draguer. Puis un jour je sus que peu après le service elle l'avait
    
    invité à un café. Cela se répétât. A la mine ravie du doudou, je n'eus
    
    plus de doute. Il se tapait la putain. Le mors de la jalousie griffait
    
    mes chairs. Je me touchais le soir songeant à leurs ébats.
    
    Bientôt en vins-je à l'allumer à mon tour. De loin étais-je
    
    incomparablement plus belle et désirable que l'autre idiote. Je me
    
    savais femme superbe et brune. De ces bourgeoises sur lesquelles on se
    
    tourne dans la rue et qu'on désire d'autant qu'on les sait
    
    inaccessibles. Un temps m'étais-je flattée d'être vouée et protégée par
    
    ce piédestal. A présent il me pesait d'être respectée et abandonné ...
    ... trop
    
    solitaire sur ce même piédestal. Je voulais descendre de celui-ci et
    
    rouler dans la fange comme ma voisine. La jouissance et le bonheur
    
    étaient à ce prix.
    
    Je faisais attention que mon mari n’entrevit rien de mon jeu. Il se fut
    
    vengé, je le sais sur le pauvre Traoré. Aussi m'assurais-je qu'il ne fut
    
    pas là quand j’allais vers Traoré bouteille de jus à la main, sourire
    
    barrant mon visage et la robe fendue par le devant qui laissait voir des
    
    cuisses que je savais belles. Dès la première fois, l'expérience fut
    
    probante. Outre son regard illuminé, je pus aviser rapidement par la
    
    bosse du pantalon que mon joli petit mâle bandait. Je lui faisais
    
    indéniablement de l'effet. A mon tour ma culotte mouillait.
    
    Bientôt je n'eus de cesse de voir si son sexe était aussi gros que
    
    l'éboueur de l'autre été. Je le voulais cueillir dans ma bouche. Il
    
    n'était pas juste que cette queue ne fut sucée que par la voisine.
    
    N'était-il pas mon employé ? Il se devait à moi autant qu'à mon mari. Le
    
    scrupule de l'adultère s'éloignait peu à peu. Par maintes gestes et
    
    poses je poursuivais mon jeu de séduction. Ainsi effrontément me
    
    baissais-je souvent devant lui afin que sous une courte jupe il vit tant
    
    mes cuisses que mes fesses dont un string n’exemptait nul détail.
    
    J'espérais qu'il me devinât et passât outre ma réserve et mon apparence
    
    de timidité. Je n'en tins pas moins à l'idée de le débaucher. Une
    
    après-midi après que j'eus posé une RTT, je ...