1. Dans la peau d'un nauteur...


    Datte: 06/12/2020, Catégories: pastiche, Humour revebebe, Auteur: Patrick R. D., Source: Revebebe

    ... et même poétique, et côté littérature, il y a de sacrées trouvailles, comme les draps, ça c’est poétique et imagé, et je suis sûr que personne n’y avait jamais pensé.
    
    Je connaissais bien Kelly. Enfin je la connais de vue, car je n’avais jamais osé lui adresser la parole. Ce soir, le hasard me fait la rencontrer face au buffet, devant le punch.
    
    — Bonsoir Mickael, tu me sers un verre ?
    
    Comment ça ? Elle connaît mon nom ? Je n’en reviens pas.
    
    — Oui, Kelly, je serais très heureux de te servir un verre. Puis-je avoir aussi l’honneur de te servir des glaçons aussi ?
    — Oh oui Mickael, des glaçons ! Avec plaisir, lui répondit-elle en lui souriant, d’un sourire éclatant.
    
    Et les dialogues aussi c’est facile ! C’est quand même autre chose que les textes qu’écrivent les autres aussi ! Et puis les temps aussi, c’est facile, il suffit d’écrire comme on parle !
    
    Je lui tendis le verre, mais j’étais tellement tendu que je lui renverse le punch sur son tee-shirt moulant.
    
    Trop bien trouvé ça ! Comme ça, hop direction les toilettes, elle se déshabille devant lui et il se la fait ! Non, c’est peut-être un peu rapide. Il lui renversera le verre un peu plus tard, ou à moins qu’il lui balance autre chose sur la poitrine ! Le coup du tee-shirt mouillé, avec ces gros nénés, ce sera trop cool. Bon, on verra plus loin. On reprend.
    
    — Merci Mickael. Je suis tellement si heureuse de te voir ici ce soir.
    — Moi aussi Kelly. Tu es tellement si belle ce soir.
    — Tu es si gentil.
    — ...
    ... Toi aussi tu es tellement gentille.
    
    Bon, je verrai la suite des dialogues plus tard. J’y reviendrai. Je passerai bien à la scène de la fellation !
    
    A peine entrés dans le petit studio de Kelly, celle-ci s’agenouilla devant moi et baissa mon pantalon. Elle resta un instant en admiration devant la bosse impressionnante qui déformait mon caleçon Calvin Klein tout neuf.
    
    Eh oui, un peu de classe tout de même ! Je vais pas porter un caleçon sans marque, c’est moi le héros, quand même !
    
    Continuons…
    
    Vite, je la vit lever un regard plein d’envie vers moi-même. Je n’osais plus bouger, adossé à la vitre de la porte, dans l’attente qu’elle s’empare au plus vite de mon vit. Elle le vit bien et baissa mon caleçon délicatement laissant apparaître mon dard impressionnant de vie. L’envie était trop forte, et vite, elle engloutit instantanément, immédiatement et complètement mon vit dans sa bouche chaude et humide.
    
    Ah putain ! Rien que de l’écrire, j’en bande !
    
    Kelly était une véritable experte en deepthroating, et elle me le prouvait en avalant intégralement mon membre puissant et pourtant imposant avec ses 26 centimètres de longueur et ses 14,8 centimètres de circoncision. J’en étais circonspect.
    
    Ma queue était énorme. Je ne l’ai jamais vue comme ça.
    
    Kelly me suçait comme une grosse nymphomane.
    
    — À table !
    
    Elle s’interrompit un instant, le temps pour elle de se dépoitrailler. Ces seins magnifiques m’apparurent alors. J’en fus ébloui.
    
    — Mickael ! À table ! ...
«1234...»