Clémence Thermet aime la pisse
Datte: 06/12/2020,
Catégories:
Première fois
Anal
Hardcore,
Auteur: ClemenceThermet2, Source: xHamster
... très timide et réservée. J'avais envie d'un homme, j'avais envie qu'un ainé s'occupe de moi, et je voulais m'ouvrir à la sexualité, quelque chose chez lui sentait tout cela à la fois. Alors je m'en suis remise à lui sans résister, en me laissant guider dans une pente que je n'imaginais pas si glissante.
Dès cette première nuit, il m'a retourné les sens et m'a fait ce que lui voulait. Je me sentais tellement bien que je me laissais entraîner en toute confiance. C'est le premier homme que je prenais sans capote, le premier qui a éjaculé dans moi mais j'avais confiance en lui. Je l'ai laissé me prendre à cru, sa muqueuse contre la mienne, et j'ai pris un pied monstrueux à le sentir s'activer à l'intérieur de moi, comme si c'étais la première fois. Tant de sensations nouvelles! Ainsi donc c'était ça sans capote! J'en suis devenue accro instantanément, au point que ce qui était dans mon esprit un petit coup vite fait se transforma en nuit de baise avec une petite salope d'apprentie ingénieur en rut!
J'étais assoiffée de sa bite, qu'il utilisait avec douceur ou comme outil de punition, sachant me caresser de l'intérieur comme une princess ou m'éclater la chatte comme on le fait à une pute sous crack. Il était endurant comme pas possible, bien pourvu par la nature et incroyablement dur même après une soirée à la beuh. Il m'a eclatée comme on cherche à démolir une cloison dans le bâtiment, en y mettant toute sa force pour cogner de plus fort possible en tranversant la paroi ...
... pour passer à travers. Bien souvent je crus qu'il m'avait déchiré la matrice tant je hurlais de douleur tout au fond à chaque coup de reins qu'il savait rendre hargneux et incroyablement pervers. Il savait que j'aimais ça!
Je ne demandais que ça et plus on baisait, plus j'en voulais, il me fallait ma ration, mon speed, mon sniff, ma drogue sauf que pour moi ma drogue c'était sa bite. Il m'a faite tourner auprès de ses potes tellement mon appétit devenait gargantuesque, et c'était des minibus de potes qui débarquaient le week end chez lui pour se "taper la petite pute bourgeoise". Mes études n'avaient plus d'importance, seuls comptaient les heures que je comptais avant de me faire mettre comme une chienne. Une heure de la fin, je coulais sur ma chaise, dix minutes de la fin ma chatte se contractait déjà dans l'attente de la dévastation qui s'annonçait.
Et ça n'y coupait pas. Je faisait ma timide au début, puis dès les premiers doigtages je devenais une vraie chienne, au regard provocateur, rien à voir avec la jeune fille un peu coincée que j'étais quelques mois auparavant seulement. Jamais mes copines de classe du lycée de la Queue (lol) les Yvelines n'auraient pu me reconnaître. J'étais devenue une dépravée, une serpillère à foutre, une junkie du sexe, une accro à la baise brutale et a****le. Carlos m'a même livrée en pature aux mecs de ma classe qui se sont fait un bonheur de me détruire ensuite par ma réputation. Mais le moment était mémorable, les mecs n'en revenaient ...