La petite nana qui faisait du stop - Histoires de Sexe

La petite nana qui faisait du stop

Quelque temps après notre rencontre, Mathilde m’avait raconté qu’elle s’était faite prendre en stop l’année de ses seize ans. C’était pendant l’été, sur la côte atlantique. Ce jour-là, elle aurait dû rejoindre une copine à vélo, à six kilomètres de là, mais elle avait trouvé son pneu avant à plat. Alors elle s’était postée au bord de la route, et un utilitaire blanc s’était arrêté sans tarder. Il y avait un homme à bord. La cinquantaine. L’air avenant.

Mathilde était montée et le véhicule était reparti. Il n’avait alors pas fallu longtemps au conducteur pour glisser des allusions à sa jeune passagère, au sujet de ses petits seins qui pointaient sous son tee-shirt et de ses très jolies jambes. Embarrassée, Mathilde n’avait pas répondu. L’homme lui avait alors proposé de lui faire un câlin dans un chemin forestier et elle avait refusé. Il n’avait pas insisté. Il l’avait déposée à l’endroit voulu et était reparti.

Par la suite, Mathilde s’était souvent remémorée ce jour-là. Les allusions et la proposition de cet homme l’avaient troublée. Elle en vint même à se masturber en y repensant, s’imaginant ce qui se serait passé si elle avait accepté qu’il se gare dans un chemin et qu’elle le laisse faire.

Son récit m’ayant excité, nous avons décidé de reconstituer la scène, sur une route de campagne, un dimanche après-midi. Le physique de Mathilde, plutôt mince, se prêtait au rôle d’une fille de seize ans. Quant à moi, elle n’eut qu’à se mettre en tête que j’avais la ...

... cinquantaine.

Nous avons mené ce scénario par un temps radieux. Mathilde s’habilla comme au jour où cette voiture a ralenti en la voyant tendre son pouce au bord de la route : un tee-shirt à bretelles un peu moulant, beige, et un short effiloché qui avait été un vieux jean usé. Un bikini rouge et des tennis.

Je l’ai déposée au bord de la route et suis allé faire demi-tour un peu plus loin. En voyant ma voiture revenir, elle tendit le pouce. J’ai ralenti et baissé ma vitre. J’ai demandé à cette demoiselle où elle allait, puis elle est montée. Elle a attaché sa ceinture et je suis reparti.

Le seul fait de savoir ce qu’on allait faire me faisait bander, avant qu’on se mette à discuter. Mais le fait que Mathilde jouait le rôle d’une fille de seize ne me laissait pas indifférent non plus. Ça me plaisait, et elle aussi, d’autant qu’elle avait souvent rejoué cette scène dans sa tête.

Nous nous sommes présentés et la fille m’expliqua qu’elle aurait dû aller chez une copine à vélo, mais qu’elle avait trouvé son pneu avant à plat.

« Ce n’est pas de chance », dis-je en lorgnant sur ses cuisses, puis sur ses tétons qui pointaient sous son tee-shirt.

Elle releva mon regard, puis revint à la route droit devant, sans répondre.

Et je repris :

« Mais ce n’est pas très prudent de faire du stop de cette façon en pleine campagne. On ne sait jamais… »

« Pourquoi vous dites ça ? » demanda naïvement la fille.

« Eh bien, tu pourrais tomber sur quelqu’un de mal intentionné. Tu es ...