Cheat-Code (10)
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: Clover, Source: Xstory
... qu’est-ce qui me prend ? Déjà que je lui ai fait une… Eurk, comment j’ai pu faire ça ? J’ai jamais été aussi excité de ma vie, c’est pas possible. »
— Prends-moi, supplia-t-elle pantelante. J’en peux vraiment plus.
Toujours sur le dos, elle serpenta du buste et des hanches pour se placer sur le rebord du lit. Elle écarta ses cuisses au maximum. Sa toison gorgée d’humidité sublimait sa vulve aux lèvres épaisses ouvertes sur le petit abyme obscur de son vagin.
Whoâ ! Je l’avais plus frustrée qu’un drogué aux pornos avec deux bras dans le plâtre.
Grisé par cette réalisation, je ne pus me retenir de faire glisser mes doigts le long de ses chairs intimes rougies de désir. Elle gémit un « ooooh oui » qui s’étrangla sur un halètement. Comme une grosse roulure de bidet, j’évitai soigneusement son clitoris. Plus elle serait à point, mieux les choses se dérouleraient. Enfin, j’espérai.
— Elle arrive, dis-je sans cesser mes caresses.
De mon autre main, je récupérai le coussin pour en extirper la taie encore poissée de sa mouille.
— Elle ? parvint à gémir Marie.
J’enfonçai deux phalanges dans son vagin. Elle ondula du bassin pour tenter de me prendre plus profondément.
— Oui, elle. Et elle est très timide alors, pas un mot.
J’envoyai < Si je n’obéis pas, il risque de me laisser encore en plan. >, et pour bien ponctuer ma phrase, je taquinai juste une fois du doigt la perle enflée de son clitoris. La belle brune dut se mordre les lèvres pour contenir un ...
... cri.
Elle grogna de colère et frustration contenue lorsque j’extirpais mes doigts de sa petite chatte. Je ne résistai pas à l’envie de lécher l’humidité qui poissait mon index. La cyprine de la belle brune avait un savoureux goût, presque sucré, qui m’étonna. Mais pas le temps de me lancer dans la critique gastronomique de mouille. Je refermai rapidement la fenêtre encore ouverte de la chambre histoire qu’Émilie ne panique pas en sentant le courant d’air, et je la retrouvai sur le palier.
Elle se rongeait l’ongle d’un pouce. Sans un mot, je lui montrai la taie récupérée. Elle comprit aussitôt mon intention, se tourna, et retira ses lunettes qu’elle glissa soigneusement dans sa sacoche. Je plaquais le tissu encore humide devant ses yeux, et le ficelait à l’arrière de son crâne avec assez de force pour être certain de l’aveugler. Je ne pouvais pas me permettre que ce masque improvisé se barre au pire moment.
Une fois satisfait de mon bricolage, je la guidai à l’intérieur de la chambre de Mélissa. Nos pas firent grincer les lattes du sol, attirant l’attention de Marie. Installée sur les coudes, buste relevé, elle n’avait pas quitté sa pose indécente, sexe offert.
Un court moment de doute m’étreignit. Deux femmes sublimes en même temps, c’était presque trop pour mes sens. Je calmai mes palpitations en inspirant doucement. Pas de raison d’avoir peur. L’interface me soutenait. Avec elle je pouvais tout faire. Même l’impensable.
Je plaçai la trop habillée Émilie entre les ...