1. Pour une chute suite1


    Datte: 05/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mic79, Source: Hds

    Pour une chute, ostéo2
    
    Pendant deux mois, je suis retourné chez cet ostéo, trop heureux d’avoir trouvé un maitre qui me fasse jouir ; j’étais son objet et il m’offrait régulièrement à ses amis. Plusieurs fois il m’avait questionné sur ma femme et il voulait savoir si elle était au courant que j’étais devenu une petite salope qui se faisait démonter régulièrement et qui s’offrait sans aucune résistance ; il faut dire qu’il avait pris toute ma volonté et que je lui obéissais sans réserve, allant même jusqu’à m’offrir pour un week-end à ses amis (c’est une autre histoire à venir). Ma femme était heureuse de voir les progrès du traitement et parlait parfois d’y prendre rendez-vous pour des cervicalgies résiduelles.
    
    La surprise est venue un soir vers 19 heures quand j’ai reçu un appel : pas de paroles, mais manifestement, dans le combiné je distinguais facilement les bruits du lit et les halètements de plusieurs personnes, puis soudain la voix de l’ostéo, m’enjoignant de venir chez lui aussitôt. Un peu surpris, mais tellement habitué à lui obéir, je me suis précipité ; il m’attendait et se mettant un doigt devant la bouche pour me faire taire, il m’entraina vers la chambre que je connaissais bien et d’où manifestement venaient les gémissements ; et là le tableau devant mes yeux me laissa pantois.
    
    Une femme, à cheval sur la tige d’un homme sur le dos, se faisait prendre en double, le deuxième lui bourrant profondément le cul ; un bandeau sur les yeux, elle se faisait ...
    ... défoncer, encourageant ses deux amants à la faire jouir, à la prendre comme une petite pute, et à l’engrosser de leurs spermes ; il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que cette femme était la mienne, se livrant à son tour aux envies de de mon maitre. Maintenu par lui, j’ai dû assister à leurs ébats ; les deux hommes la possédaient furieusement et lorsque je pouvais voir leurs sexes, je pouvais constater qu’ils devaient combler les deux orifices. Sa jouissance était bruyante, et elle les encourageait, en leur disant qu’ils la baissaient mieux que son pédé de mari, qu’ils avaient une plus grosse queue et qu’ils savaient la faire jouir mieux que lui. Assommé par ces paroles, je restais immobile, mais bizarrement la scène me chauffait le ventre ; je découvrais que non seulement j’étais soumis avec lui, mais qu’en plus le fait d’être cocu devant lui, aggravait ma soumission, mais aussi mon excitation ; je bandais en voyant ma femme se faire défoncer. Je réalisais aussi qu’il avait dû lui raconter mes fredaines puisqu’elle avait utilisé le mot de pédé.
    
    Puis brutalement, René (l’ostéo) me dit de me déshabiller, puis me caressant la tige, il enleva le bandeau sur ses yeux. Un peu ébloui, elle constata rapidement ma présence et ses yeux se sont aussitôt portés sur mon sexe bandé ; un sourire apparu sur son visage : « tu peux voir que moi aussi j’aime me faire défoncer, et tu peux me croire qu’ils s’y prennent mieux que toi ; cela fait deux heures qu’à eux trois ils me possèdent ...
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