1. Haoua, vendeuse de galettes. Deuxième partie : Com


    Datte: 26/04/2018, Catégories: Humour Première fois Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... pensais à ce que je devais faire pour régler le problème d’hébergement de Haoua. Et puis le déclic vint tout seul : ma mère ! Comment n’y avais-je pas pensé plus tôt ! Ma mère, une merveilleuse petite vieille de près de soixante-dix ans, vivait seule dans son grand appartement d’El Harrach. Elle avait un très fort esprit d’indépendance et n’avait jamais voulu habiter chez l’un de ses enfants. Je lui avais proposé plusieurs fois de venir chez moi et elle avait toujours refusé; surtout pour ne pas me gêner, connaissant mon mode de vie de célibataire, toujours entouré de femmes. Elle refusait aussi d’aller vivre avec l’une de ses deux filles mariées, pour ne pas les gêner et créer des problèmes de cohabitation avec ses deux gendres, que pourtant elle aimait bien.
    
    Je l’appelai au téléphone en lui expliquant la situation et en lui demandant, comme un service, d’accueillir pour quelques temps Haoua. Elle avait été immédiatement touchée par les malheurs de la jeune femme et quand je lui ai avoué ma crainte de la voir mettre fin à ses jours, parce qu’elle pensera qu’elle est de trop dans ma vie.
    
    - Si c’est une menteuse qui veut te piéger, je le saurais assez vite et je m’occuperais de lui faire regretter son comportement avec toi. Si c’est la vérité, la petite mérite d’être aidée. Ramène-la-moi, dans deux jours. Aujourd’hui, je vais au bled, avec Nacéra ta sœur, pour une visite familiale. Nous y passerons cette nuit et celle de demain.
    
    Je savais bien que je pouvais compter ...
    ... sur maman ! Elle avait toujours été là quand j’avais besoin d’elle. Et ce n’est pas aujourd’hui qu’elle me lâchera. Je rentrai assez tôt à la maison, après avoir fait quelques courses. Je trouvais Haoua, complètement changée. Le diamant brut que j’avais confié à Attika le matin s’était transformé en une magnifique pierre précieuse, finement ciselée. Elle n’avait gardé de son ancienne apparence que la longue chevelure, que je lui avais interdit de couper. Mais même cette longue chevelure était différente de ce qu’elle était ce matin encore: elle avait été traitée et coiffée de manière à ce qu’elle tombe en vagues ondulantes sur ses épaules et son dos. Le résultat était magnifique : je crois que je serais tombé amoureux de Haoua, rien que pour sa longue chevelure noire. Par ailleurs, ses sourcils, ce matin encore, épais et broussailleux avaient été soigneusement épilés et ses yeux très légèrement maquillés, de manière à souligner l’intensité des ses immenses yeux noirs d’outarde (« ouyoun lahbara », comme on dit dans nos contrées).
    
    Elle portait une très légère robe d’intérieur bleu-marine (une djebba) en coton qui mettait en valeur sa grande taille, la minceur de son corps et la sensualité de ses rondeurs. Je reconnaissais bien là le travail d’experte de Attika.
    
    - Comment tu me trouves ? questionna-t-elle, presque provocante. Je suis belle comme cela ! N’est-ce pas ? Attika a été très gentille. Elle ne m’a quittée qu’à seize heures, après m’avoir acheté de beaux habits et ...
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