Lycée pro
Datte: 04/12/2020,
Catégories:
Mature,
Auteur: pompier37, Source: xHamster
... plus profondément dans votre antre. Vous gémissez de plus en plus fort, vous accrochant aux bords du bureau.
Je vous écarte alors votre culotte, totalement trempée, et vous lèche la chatte de plus belle.
Je joue maintenant de la langue sur votre clitoris, et enfile deux doigts dans votre sexe béant.
Vous vous agrippez alors si fort au bureau que je crois que vous allez laisser des morceaux d'ongles dans le bois !
Vous ne gémissez plus, haletez, mais je sens que vous voudriez crier !
Vous vous tordez de haut en bas, au rythme de mes pénétrations digitales, jusqu'à ce que vous explosiez. Votre bassin se raidit une dernière fois, vos traits se figent, puis soudain tout se relâche et je sens, à la quantité de mouille qui se déverse sur mes doigts et mes lèvres que vous êtes en train de jouir.
Vous n'avez pas crié, vous retenant vu le lieu, mais vous avez pris votre pied, indéniablement.
Je fais coulisser mes doigts encore un peu en vous, jusqu'à ce que vous repreniez vos esprits.
Vous ouvrez des yeux fatigués vers moi. Je vous souris.
Vous me souriez à votre tour, et voulez vous redresser. Je vous y aide. Vous venez m'embrasser, prenant mes joues entre vos mains.
Nous nous caressons. Vos mains descendent sur mon torse, vers mon jean, vos yeux ne quittent pas les miens. A l'"aveugle", vous commencez à le déboutonner, le faites descendre à mes genoux, puis c'est mon boxer qui suit le même chemin,me laissant le sexe dressé.
En voyant ce dernier, ...
... vous ne vous départissez pas de votre doux sourire .
Vos yeux toujours plantés dans les miens, vous vous en saisissez, et je pousse un soupir en fermant les yeux. Mon dieu, que c'est bon !
Lentement , vos doigts coulissent sur mon prépuce, le décalottant sans difficulté. J'halète, je tressaille de tous mes membres. J'ai du mal à tenir debout !
Vous avez l'air si fière du plaisir que vous me procurez. Vos lèvres entrouvertes, c'est comme si vous soupiriez de bonheur avec moi, en écho.
Votre adresse à me branler est telle que que je suis bien vite sur le point de jouir, et vous aussi, vous vous en êtes rendu compte ; alors, vous lâchez mon sexe, et je soupire, autant de regret que de savoir que les choses ne vont pas en rester là.
Vous descendez du bureau et venez m'embrasser, avant d'aller fouiller dans votre sac à main et d'en sortir un emballage de capote !
Je reste interdit quelques secondes ; qu'est-ce qu'une femme mariée aurait comme intérêt à avoir des capotes dans son sac ? Est-ce que cela voudrait dire que je ne suis pas le premier - ni le dernier- à bénéficier de vos faveurs extra-conjugales ?!
Pendant que je déballe le préservatif que vous m'avez tendu avec un sourire qui me donne une partie de la réponse, vous dégrafez votre porte-jarretelles et retirez votre culotte.
Vous vous retournez ensuite face au tableau. Oui, ça me plaît de vous prendre comme ça ! Je me colle à votre dos, mon sexe se nichant entre vos fesses.
Mes mains att****nt vos ...