1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (38) : notre Pacte candauliste.


    Datte: 04/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... droits et obligations de chacun, en apparence au détriment de Philippe. J’ai obtenu, au principe n°2, qu’il puisse y avoir des circonstances où je puisse être seule avec un amant, ne serait-ce que parce que celui-ci ne souhaiterait pas la présence du mari.
    
    Le principe n°4 indique que je n’accorde pas sa liberté sexuelle à Philippe. Il n’y a pas « réciprocité » dans notre couple. Philippe sait que je supporte très mal qu’une autre femme l’approche. Je considère ces femmes comme des ennemies. Pour moi, ça ne se discute pas : Philippe est à moi et rien qu’à moi. Tout au plus, je peux prendre l’initiative de le mettre à disposition d’une autre femme, comme je l’ai fait pour Agun afin d’initier mon amante, que je voulais voir sous le joug d’un mâle. Mais je n’ai supporté ni Marie C, ni Flavienne et pas davantage ces petites putes d’Ambre (dont je parlerai ultérieurement) et de Théodora.
    
    Il est vrai que ni Philippe, ni moi n’avons vraiment respecté le principe n°4 ! Pas plus que je n’ai respecté le principe n°5, qui est d’ailleurs contraire à la liberté sexuelle absolue qui m’est reconnue par ailleurs. Et aussi parce que pour moi le plaisir n’est complet que si mon amant peut se vider en moi.
    
    Nous avons globalement respecté depuis 5 ans ce Pacte candauliste, en particulier parce que nous n’avons plus recours à un troisième partenaire, comme du temps de Rachid.
    
    Nous veillons aussi particulièrement à notre réputation (Principes 10 et 11). La contrepartie logique était ...
    ... de limiter notre liberté et l’exercice sans freins de nos fantasmes à des moments privilégiés mais trop rares à notre goût.
    
    Je retrouvais néanmoins une certaine frustration que j’avais connue avant la rencontre avec Rachid en 2007 et ce malgré les progrès remarquables qu’avait réalisés Philippe dans l’accomplissement de son devoir conjugal, sans parler des pratiques extrêmes que nous affectionnons. J’avais autant besoin que Philippe me fiste jusqu’au poignet et me cravache que lui avait besoin que je l’encule avec mon gode ceinture.
    
    Heureusement, il y avait aussi (et il y a toujours) près de moi Agun, que j’avais rencontrée dans un salon de massage (récit n°6) et qui, logée dans un petit appartement de notre immeuble, était devenue mon amante attitrée, ma femme, sachant calmer le feu qui me dévorait. Sans elle, je n’aurais pas tenu et je serai allée m’offrir, comme une putain au premier venu pour être baisée sans autre forme de procès.
    
    Il faut dire aussi que Philippe appliquait à la lettre le principe n°8 au sujet de mes tenues : il continuait à insister pour que je porte des vêtements plus que sexy, indécents est le vrai terme, qui faisaient que, dans notre nouvelle ville, j’avais vite gagné la réputation d’exhibitionniste et d’allumeuse, je fais toujours scandale par mes tenues.
    
    Philippe avait posé ces principes qui étaient autant de garde-fous indispensables, mais il savait aussi ménager des exceptions.
    
    Le premier qu’il m’accorda fut lors de notre (nouveau) ...
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