1. Souvenirs de jeunesse – 6 : Vacances à Djerba


    Datte: 04/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: PP06, Source: Hds

    Suite de mes souvenirs de jeunesse avec Martine, mon épouse : petit récit sans prétention décrivant les émois d’un jeune marié. A cette époque, je démarrais au quart de tour, un rien me suffisait, et Martine ce n’étais pas rien !
    
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    Jeunes mariés, sans avoir encore envisagé d’assurer notre descendance, nous avons passé une semaine de vacances au soleil, sur l’ile de Djerba en Tunisie. Vacances calmes, bel hôtel en bord de mer. Nous passions nos journées entre la plage, la piscine, un peu de sport, le restaurant, faire les boutiques, et se faire des câlins.
    
    Comme presque toutes les touristes, Martine était seins nus sur la plage ou à la piscine. Et à peine couverte pour aller au restaurant. Je remarquais, bien sûr, le regard des autres hommes, je m’en souciais peu, étant occupé à mater leur femme. Il n’y a pas de petits plaisirs.
    
    Tous les jours, les boutiques de fringues attiraient Martine, petites robes de plage, tuniques, bijoux fantaisie … sans acheter, elle aimait aller faire des essayages. Je l’accompagnais, le spectacle de jeunes femmes dans une boutique m’a toujours enchanté. En robe de plage avec juste une petite culotte ou son maillot de bain, pas très grand non plus, Martine avait revêtu l’uniforme local. Très prévenants, les vendeurs pouvaient la regarder essayer différents modèles, l’aider à choisir ou à ajuster un vêtement…je prenais gout à les voir faire, … coup d’œil dans la cabine, rideaux à moitié ouvert, mains baladeuses, toute une ...
    ... technique. Cela devait plaire à Martine, puisqu’elle y retournait sans se faire prier. Ses petites exhibes me ravissaient
    
    Une fois, elle a voulu acheter un beau collier, le vendeur lui passe autour du cou, le collier est assez long et vient se nicher entre ses seins. Pour bien voir l’effet produit dans le miroir posé sur le comptoir, Martine ouvre deux boutons pour le plus grand bonheur du vendeur qui lui fait face. Elle se tourne alors vers moi, tenant largement ouvert les pans de son chemisier :
    
    - Comment tu trouves ?
    
    Je trouvais ça très bien… je n’ai pas été le seul dans la boutique.
    
    A la plage, j’aimais bien regarder nos voisines, et Martine se faisait mater par nos voisins, touristes comme nous, donnant-donnant. Mais aussi des tunisiens, le personnel de l’Hôtel, ou des locaux qui se cachaient dans les rochers pour regarder les belles étrangères. Ils n’avaient pas le droit d’entrer sur la plage, ils ne pouvaient regarder que de loin, mais ça leur suffisait, j’imaginais qu’ils devaient se branler. Le soir avant de rentrer dans notre bungalow, Martine se changeait sur la plage, enfin n’ayant pas de soutien-gorge, elle enlevait le bas du maillot pour enfiler un petit string qui cachait encore moins, offrant une dernière vision aux voyeurs locaux. J’ai vite remarqué son petit manège, je la laissais faire, très excité par la situation.
    
    A table, toujours la même table, nous étions toujours servis par le même serveur, un tunisien charmant, petite moustache, la ...
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