1. Sexothérapie II


    Datte: 26/04/2018, Catégories: Hardcore, Lesbienne Mature, Auteur: marika842010, Source: xHamster

    ... Oh, d’en parler… Si tu étais là… Il n’est plus avec toi au fait ?
    
    - Non, il est reparti.
    
    - Il t’a prise dans les dunes comme avant… Tu n’as pas eu peur d’être vue ?
    
    - Oh, tu sais une fois que c’est parti, j’ai bien dit non, mais…
    
    - Coquine… Tu as joui ?
    
    - Oh, oui… Il était gros, bon, doux, un vrai câlin de reine…
    
    - Dis ?
    
    - Oui ?
    
    - Je me le fais…
    
    - Non ?
    
    - Si… Oh !...
    
    - Dis-lui sur un papier que tu l’as attendu et viens me rejoindre…
    
    - Tu veux ?
    
    - Je viens comme je suis alors, je prendrai des trucs chez toi… Ouvre ton portail dans cinq minutes, je ne veux pas qu’on me voie dans cette tenue…
    
    Je raccroche, elle a coupé immédiatement…
    
    Cinq minutes plus tard, les phares éclairent l’allée… Je ferme le portail et le verrouille à distance…
    
    Je l’attends dans mon lit, la maison est calme, la lune éclaire mon lit… Pas un bruit… J’entends un rire étouffé, des frous-frous…
    
    Elle se glisse contre moi, sa bouche s’écrase sur la mienne, je la prends dans mes bras…
    
    Elle est liane, elle a envie de moi, envie de me découvrir, de profiter de mes seins, de mon corps, pour elle seule, sans personne… Elle a le temps, elle me le dit, elle coule de désir… Mon coup de fil l’a émoustillée, mes ébats en pleine nature avec Romain, lui ont fait remonter le temps, vers son adolescence, ses premiers flirts dans les dunes, l’été, alors qu’il n’y avait pas encore la pilule…
    
    C’est là qu’on découvrait l’amour, qu’on le pratiquait pour la première fois, et ...
    ... souvent petit à petit, chaque chose en son temps…
    
    Des mensonges, des frayeurs, des sensations merveilleuses qui repoussaient les limites des risques. Et pas de pilule du lendemain non plus, en cas de doute…
    
    Le SIDA non plus n’existait pas, ou n’avait pas de nom…
    
    Retours de broîte, ou aventures sentimentales en devenir, nous allions souvent dans les dunes s’isoler sans musique, pour parler simplement, après un début de flirt. Les discothèques étaient très souvent implantées en bordure de mer, sur les plages méditerranéennes.
    
    Le sable fin gardait la chaleur rémanente du soleil de la journée, apportait un gage de bien-être, de nid douillet, et de sécurité pour cacher des amours adolescentes ou clandestines…
    
    Enfin, le nombre de corps enlacés, rassurait les plus timides, la nuit cachant défauts, boutons et points noirs…
    
    Que de pucelages perdus ainsi au fil de soirées, puis c’étaient d’autres expériences, d’autres amants d’un soir, jusqu’à se sentir femme, déflorée et libérée, pour des bains de minuit torrides, où le sexe était le prétexte, l’alcool le moteur…
    
    Pas mal d’enfants furent ainsi conçus dans les douceurs de la nuit, avec le plus beau des amants de la plage, mais nous retombions de haut dès le lendemain, car l’oiseau envolé, il nous restait le doute jusqu’au mois fini, et lui une bonne cuite de quelques heures seulement…
    
    Ces dunes furent aussi le théâtre des amours homosexuelles, traditionnellement mal venues en public, jusqu’aux amours plurielles, ...