Mûres25/Maria, 76ans,pute à gros nichons
Datte: 03/12/2020,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Inceste / Tabou
Auteur: langauchat, Source: xHamster
Une vieille pute avec de gros nichons qui ballottent, une salope mûrie comme un fruit au soleil, gorgé de mouille, qui aime toujours autant se faire fourrer, c'est quand même une valeur sûre pour bander, avouons-le.
Une partie de cette histoire est authentique, une partie seulement, contrairement aux autres qui le sont rigoureusement.
J'ai sympathisé virtuellement, par le biais d'un tchat anonyme, avec un homme dans la cinquantaine, un espagnol qui partage mon goût pour la chatte mûre à fourrer sans ménagement.
Mais lui, il est pire que moi: ses désirs sont, depuis leur éveil, imprégné par l'envie de jouir avec une grosse cochonne mûre, pour la bonne raison que sa mère en est une. Je ne crois pas que ce qu'il m'a confié relève du fantasme.
Il a vraiment surpris sa mère en pleine nuit, complètement libérée dans sa nature de grande gourmande de sexe, en train de se faire piner comme une chienne.
A quatre pattes avec les gros nichons qui ballotent à cause des coups de bite.
A genoux, la bouche remplie par une queue...avec des hommes différents, qui venaient très tard à la maison, ou en pleine nuit quand, croyait-elle , personne ne pouvait la voir.
sauf qu'il y avait une paire d'yeux dans le noir qui enregistraient toutes ces scènes de cul, un coquin malgré lui, qui avait le chic pour être réveillé au mauvais moment.
Putain, la trique en rentrant dans sa chambre: Mama qui suce la queue du monsieur, mama au gros cul généreux, empoigné par un lascard tout ...
... excité d'enfoncer son sabre entre ces deux immenses mottes de beurre
Aucun doute, ce n'était pas des amants, mais des clients, qui venaient voir Maria Dolorès pour se vider les couilles
Une forte nature, cette dame..énergique, sympathique, épanouie dans sa beauté typiquement espagnole.
De bons gros nichons, très peu dissimulés dans des blouses légères...
Il devait faire chaud, surtout à l'usine...un gros cul rebondi, des seins comme des melons, ça ne passe pas inaperçU auprès d'une gent bascule en rut perpétuel.
Elle ne ressemblait pas trop à une nonne, Maria Dolorès...on devinait la fente qui mouille facilement, et l'envie de jouir comme un vin lourd et sucré dans les veines.
Les prix devaient être raisonnables. Une bonne giclée dans la chatte de Maria, on pouvait se l'offrir.
C'est ce qui s'appelle joindre l'utile à l'agréable. Quand je dis "pute", c'est sans mépris. C'est pour faire durcir ma queue. Pute sans complexes, c'est mieux que ces femmes froides et prétentieuses qui s'appuient le même pisse-froid fortuné qu'elles appellent "mon mari", ce qu'on dit ordinairement quand un client paie assez cher pour évincer tous les autres.
a la moindre difficulté avec leurs femmes, les maris venaient se faire tirer des pipes pas cher par Maria, qui d'ailleurs aimait ça, sucer de la bite.
c'est très tard, ils n'ont qu'à heurter discrètement à la porte, pour ne pas faire de bruit. Ils entrent. Pas besoin de faire un discours, on paie, on baisse son froc, et ...