La salope
Datte: 03/12/2020,
Catégories:
Lesbienne
Hardcore,
Auteur: Robertlepieux, Source: xHamster
Je rentrais du boulot et j’étais de bonne humeur parce que dans le bus, je m’étais retrouvé face à face avec une jolie blonde à la poitrine insolente. Dans le mouvement de foule, je m’étais retrouvé plaqué contre elle et j’avais pu sentir la pointe de ses tétons. Dans les virages, ça avait été encore pire. On aurait dit que le conducteur le faisait exprès. Ses mamelons me pénétraient le torse. La femme avait levé les yeux et elle m’avait souri. J’avais avancé la main et j’avais touché son minou et peu à peu, son visage s’était pâmé. Je n’en revenais pas. La femme se frottait contre le bout de mes doigts. Je pensais au type qui, l’autre jour, dans le même bus, s’était fait traité de vicieux alors que ce n’était pas lui qui avait peloté le cul de ces filles, mais un petit malin qui s’était empressé de descendre du bus.
- Aaaaaah, avait fait la femme !
Elle ne simulait pas parce que j’avais le bout des doigts trempés mais c’était mon arrêt. Je suis descendu et j’ai regardé la femme et le bus partir. Elle m’a fait signe de la main, délicatement, en dressant ses doigts vers le ciel. Je suis rentré chez moi et je marchais sur le boulevard quand j’ai senti que j’avais la trique. Je bandais et ça me faisait mal parce que j’avais la bite coincée dans mon pantalon. J’aurais pu y mettre la main mais il y avait du monde. Je suis entré dans la maison et je suis allé dans la salle de bains pour me soulager.
Je commençais à me branler quand ma femme a poussé la porte.
- Ah toi, ...
... m’a-t-elle fait, quand tu es comme ça, c’est que tu as rencontré une paire de gros nichons !
C’était devenu sa manière de se moquer de moi. Au début, quand je l’avais rencontré, j’avais découvert que je courrais après une belle salope et la première fois qu’on avait fauté, j’avais découvert son vocabulaire imagé :
- Oh, sale con, tu me baises, m’avait-elle hurlé ! Baise-là, cette salope ! Mets-la lui bien au fond !
Elle m’avait seriné ça jusqu’à ce que je jouisse. J’avais tout lâché au fond de son vagin mais j’avais aussi découvert qu’elle n’avait pas besoin de moi pour se terminer.
- Touche-moi les nichons, m’avait-elle réclamé !
Elle ne faisait que cinquante-quatre kilos pour un mètre soixante-cinq mais il lui fallait des soutifs avec des bonnets H. Un jour que je la complimentais en la prenant entre les seins, elle m’avait dit que ce ne sont que des mamelles, des bouts de viande mais il suffisait que je tortille ses mamelons pour qu’elle soit folle.
- Oh, putain, je mouille !
Elle ne simulait pas mais c’était sa vessie qui évacuait le trop plein par petites touches.
- Alors, elle était comment cette salope, a continué mon épouse ? Mince, petit cul, gros nichons ? C’est tout à fait ton genre !
C’était surtout son portrait craché.
- Quand tu te seras soulagé, je voudrais que tu débouches l’évier, a ajouté mon épouse !
J’ai repris mon ouvrage mais le cœur n’y était plus et je n’ai pas pu aller au bout. J’ai remballé mes outils et je suis allé ...