1. Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ". (2)


    Datte: 03/12/2020, Catégories: Divers, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... l’âme. Mais quelle ordure !
    
    L’Homme, un grand sourire aux lèvres, faisait le tour de Corinne comme un fauve qui apprécie déjà sa proie ; il lui respira même les cheveux.
    
    “Ça décoiffe hein. Une belle pute ton mari... mais je dois avouer que tu en es une belle aussi... dans un autre registre."
    
    Corinne se leva comme un ressort:
    
    “Tenez, voici déjà un acompte pour régler la dette : je continue ? “
    
    Corinne avait passé ses mains sous sa robe moulante, attrapé le string et tiré violemment dessus, l’avait descendu avant de le lancer sur le bureau de l’inspecteur ; celui-ci dégoûté, le prit du bout de son stylo et le lança à l’Homme.
    
    “ Elle te plait ?
    
    — Hummm, j’adore déjà sa petite chatte ! Es-tu poilue ?
    
    — Tu veux voir ? “
    
    Et Corinne montant sur la chaise, dégrafa le haut de sa robe, et langoureusement la fit glisser sur le sol. Elle était nue, en bas couture et porte-jarretelles blanc devant les deux hommes...
    
    “ Pas mal, pas mal ! Donc j’en déduis que tu vas obéir à toutes mes demandes ? Tu sais que je suis un maître particulièrement vicieux ?! Si tu es OK, tu descends de ta chaise et tu viens te poster devant moi, la tête penchée. Tu ne dois absolument pas croiser mon regard... Compris ?
    
    — Oui Monsieur ! “
    
    Et Corinne s’exécuta, debout, nue devant l’Homme, elle attendait son bon ...
    ... vouloir. Pendant ce temps l’inspecteur général, assis dans son fauteuil regardait la scène d’un air amusé. L’Homme tendit sa main vers le pubis de Clara, anciennement Corinne, et négligemment, comme s’il palpait un melon dans un supermarché, lui toucha son triangle de poils pubiens.
    
    “ Faudra me raser tout ça... je vais te donner de quoi et souviens-toi, savon interdit !”
    
    L’homme sortit un rasoir coupe-chou très effilé, ainsi qu’un petit téléphone portable, et donna ses instructions à la femme. Celle-ci, les yeux embués de larmes commençait à regretter son excès de zèle... mais en même temps une douce chaleur envahissait son bas ventre. Corinne était la “chose” d’un homme, l’esclave d’un maître pervers et elle adorait ça, en même temps qu’elle avait peur !
    
    Lorsqu’elle rentra chez elle, elle avait recouvré son calme, son mari la croisa et lui demanda avidement comment s’était passé l’entretien:
    
    “ Je ne pensais pas que tu rentrerais si tôt ma chérie. Alors comment cela s’est-il passé ?
    
    — Tu croyais qu’il allait me baiser ? Ben non... pas ce coup-ci en tout cas. Bon tu me laisses, tu ne sauras rien de moi, j’ai ordre absolu de me taire. De toute façon un Homme viendra t’expliquer tout ça... Bon je dois me raser la chatte !”
    
    Rodolphe, abasourdi par les mots vulgaires de sa femme, crut qu’elle plaisantait ! 
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