1. Un cocu heureux 1


    Datte: 03/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... avec joie, car il faut du sang froid et de l’expérience pour lever en si peu de temps un beau garçon au physique avantageux et courtisé par des femelles en vacances. Oui, mais cette salope est ma femme, la mienne, je la connais, je lui fais habituellement l’amour depuis des années, je sens quand monte son plaisir, je reconnais ses accents particuliers quand elle jouit avec moi, je sais déclencher son orgasme, j’ai des clés de sa volupté. Toutes les clés? Je vais peut-être en découvrir. Je veux en découvrir.
    
    Mais comment va-t-elle agir avec ce nouveau venu, saura-t-il lui procurer le plaisir, comment, combien de fois ? Ce qui se déroule devant le mari voyeur est-il purement sexuel ? Oui, forcément. Comment en serait-il autrement, ils feront l’amour mais ils ne s’aiment pas, ils ont à peine eu le temps de faire un peu connaissance en dansant, de façon épidermique. Mon couple n’a rien à perdre, ils vont baiser, tirer un coup ce soir, peut-être plusieurs fois pendant le court séjour et après, finies les vacances, retour au bercail, la vie reprendra normalement.
    
    Et Léo, ce concurrent redouté, pauvre Léo pris de vitesse, va voir s’envoler ses chances de me cocufier s‘il n‘a pas osé , ou amant caché il sera malheureux d’être aussi cocu, sinon plus cocu que moi, juste retour des choses. Ma « couguar occasionnelle» oubliera son beau maître nageur, loin des yeux loin du cœur, elle en rêvera en se blottissant dans mes bras de mari rassurant.
    
    Pour l’instant c’est l’instinct ...
    ... qui les guide. Elle a toujours son soutien-gorge en position haute. La main glissée entre ses cuisses a repoussé dans le pli de l’aine la mince bande du string et s’agite calmement sur les lèvres de la vulve, va lentement, vient possessive, s‘insinue encore, revient, caresse, appuie, chauffe, tourne sur place. La main remonte au nez du gars, il hume sensible aux odeurs du vagin :
    
    - Tu sens bon! Suce mes doigts.
    
    Mylène les prend en bouche, les trempe de salive et la main repart à la conquête de sa fente. Il s’est courbé, penché pour suivre le mouvement des doigts qui travaillent maintenant les chairs intimes. Malgré la musique lointaine du bal, j’entends l’exclamation de ma femme lors de l’introduction des doigts mouillés dans sa cramouille, puis ses gémissements longs et étouffés pendant la masturbation rapide et appuyée de sa chatte en chaleur. Debout elle se tord en liane contre le masturbateur acharné à la faire grelotter de désir enfiévré, elle grimace et cache sa face contre ses pectoraux, elle souffle bruyamment l’énervement de ses sens bouleversés par les frottements sur son berlingot.
    
    Et voilà que sur les épaules une main la pousse vers le bas. Elle descend le long de ce jeune corps de sportif bien entretenu, sa face rencontre une verge tendue, ses mains cueillent la tige de beau calibre, normale disons, l’immobilisent et la présentent à la bouche dessinée au rouge à lèvres presque effacé par les baisers.
    
    Une salope! Je la savais ardente, avide d’amour avec ...