1. Notre première fois à trois


    Datte: 02/12/2020, Catégories: fhh, couplus, hotel, revede, Oral Partouze / Groupe yeuxbandés, confession, Auteur: Gribouilleux, Source: Revebebe

    ... smack ?
    — Je ne sais pas… Je ne me suis pas posé la question.
    — Tu l’accueilles et tu reviens vers moi ou tu l’attaques cash ?
    
    Franck enchaînait les questions. Il pensait que cela pouvait détendre un peu l’atmosphère.
    
    Toc-toc.
    
    Ça y est. Johann était là. Juste derrière la porte. La tension était à son comble. Karine comme Franck entendaient battre leur propre cœur. Ils en rigoleraient sûrement plus tard si ce genre d’expérience devenait plus fréquent mais pour l’instant, ils avançaient dans l’inconnu. Elle se dirigea vers la porte et Franck en profita pour mater ses fesses si bien moulées dans son jean préféré. C’est vrai que Karine avait un cul à faire bander un saint. Et son jean dernièrement acheté le mettait encore plus en valeur. Elle ne l’avait que depuis quelques semaines mais cette courte période avait déjà suffi à ce qu’il se retrouve en dessous de ses genoux pour deux levrettes express, une dans la cuisine et une dans la salle de bain.
    
    Elle avait choisi cette tenue car elle n’avait pas souhaité trop en faire. Pour une première, bas et porte-jarretelles auraient été un peu surfaits. Elle avait préféré miser sur ses valeurs sûres. Le regard des hommes qu’elle croisait en disait long lorsqu’elle déambulait dans les rues. Elle en soupçonnait souvent quelques-uns qui l’avaient suivie suffisamment longtemps de faire comme Johann une fois rentrés chez eux.
    
    — Salut toi, sympa que tu sois venu ! lança-t-elle.
    
    Il lui sourit et restant immobile en la ...
    ... regardant s’allonger sur le lit. Elle avait directement rejoint Franck qui était allongé sur le dos et s’assit sur lui. Elle commença à l’embrasser. Elle savait que cette position allait faire ressortir ses fesses sous le nez de Johann mais elle ne s’était pas installée comme cela pour cela. Elle voulait surtout embrasser son homme pour se réfugier dans sa bouche. Plonger à la recherche de sa langue lui permettait de s’évader de ce moment de tension. Elle n’avait plus à parler, plus de regard à soutenir. Elle pouvait attendre et laisser faire les choses. Elle sentit Franck remuer sous elle et se tordre légèrement, la main à la recherche de quelque chose. Il lui caressa les cheveux et installa un loup sur son visage. C’était ce petit élément qu’il venait de récupérer. Elle n’y voyait plus rien et fut immédiatement soulagée par cette subite obscurité.
    
    — Tu l’enlèves quand tu veux, tout de suite même si tu le désires ou jamais…
    
    Il venait de lui murmurer cela à l’oreille. Comment avait-il pensé à cela ? Comment avait-il su qu’elle apprécierait tant cet artifice au moins pour le moment ? Ils étaient si complémentaires et il était si attentionné, à son écoute, que cela ne l’étonnait même plus en fait…
    
    Les mains de Franck parcouraient son dos. Elle frottait son jean sur celui de son mari et déjà cela lui procurait une sensation extraordinaire. Ce n’était pas la sensibilité de son entrejambe qui la mettait dans cet état mais son cerveau qui était en ébullition. Les mains de Franck ...
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