Brena et la reproduction - Histoires de Sexe

Brena et la reproduction

... vraiment merveilleux, tout à l’heure ! Je n’ai pas cessé d’y repenser !

Yolen s’approchait à son tour. Et les trois autres firent une sale tronche en la voyant me serrer dans ses bras contre ses gros seins. Le repas fut encore une fois sans intérêt, gustativement parlant. Je mangeai entre Xara et Thylis, en face d’Anya, la blondinette, et de Jiris, la très belle jeune femme que j’avais « ensemencée » la veille et qui me couvait de ses regards les plus coquins. Xara faisait la gueule ; Thylis passait son temps à se serrer contre moi ; Anya et Jiris me faisaient de l’œil. Plus loin, des dizaines d’autres nanas me mataient outrancièrement.

À peine le repas terminé, Xara me tira littéralement par le bras en expliquant fraîchement à nos co-bouffeuses qu’on allait dormir et que je devais me reposer. Thylis nous suivit de près et on alla bientôt s’étendre tous les trois à poil dans la chambre d’apesanteur.

Leurs beaux petits culs me redonnèrent une gouache tout à fait naturelle, et je sentais qu’après ces quelques heures de repos, j’étais de nouveau capable de donner le meilleur de moi-même, et si besoin d’ensemencer.

— Tu as déjà assez ensemencé ces dernières heures ! râla Xara en me masturbant fermement. Oublie mes sœurs et ta mission, et consacre-toi un peu à moi…

Elle regarda Thylis presque amoureusement et corrigea :

— Enfin… à nous.

Comme pour montrer qu’elle était d’accord, Thylis effectua dans l’apesanteur une sorte de volte-face pour venir s’étendre ...

... en soixante-neuf au-dessus de moi. Je refermai mes mains sur ses fesses et plongeai ma langue contre son sexe à l’instant même où elle refermait ses lèvres autour du mien, que tenait toujours Xara alors qu’elle voguait verticalement le buste entre mes jambes, et sa tête tout près de celle de Thylis.

Les deux jeunes femmes me sucèrent alternativement un bon moment avec passion et presque acharnement. Était-ce l’abus d’endochlorates ou bien mes quelques heures de repos ou encore mes deux baises sans jouissance ? Toujours est-il qu’au bout de deux ou trois minutes à savourer les caresses délicieuses de leurs bouches avides, j’explosai d’un orgasme hallucinant et interminable, en hurlant d’un mélange terrible de douleur et de plaisir et en me libérant d’une quantité de sperme réellement phénoménale, qui recouvrit largement leurs deux visages, et dont certains jets allèrent même s’écraser lentement au plafond, tandis que je dérivais dans la pièce, emporté par mes spasmes.

— Je… je suis désolé… bafouillai-je après coup, un moment plus tard, en reprenant péniblement mes esprits.

Elles en avaient partout, des cheveux jusqu’à la poitrine. Et il en flottait encore dans une bonne partie de la chambre.

— Je crois que j’ai un peu trop chargé sur le flacon d’endochlorates…
— Quel gâchis ! rigolait Thylis en s’essuyant le visage avant de sucer allègrement ses doigts.

Xara, sa surprise passée, revint vers moi en me haranguant :

— Gufti ! Ce n’est pas drôle ! Ce ne sont pas ...