1. À pas de loup...


    Datte: 26/04/2018, Catégories: fh, cocus, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme fgode, Auteur: Bicocu, Source: Revebebe

    ... Aussi, ils terminaient systématiquement leurs ébats par un nettoyage approfondi de ses orifices. Pourtant, ces « excès » semblaient insuffisants et Marc exprimait de plus en plus souvent des regrets :
    
    — J’aimerais tant que ce soit vrai !
    — Comment ça ? Qu’est-ce que tu voudrais qui soit vrai ?
    — Je voudrais que ce soit vraiment le sperme d’un autre, la semence d’un de tes amants que je lèche et j’avale.
    — Encore ! Tu voudrais vraiment que je te trompe ? Tu crois que tu pourrais supporter d’être un mari cocu ?
    — Oui, j’aimerais que tu me trompes. Je voudrais vraiment être cocu, que tu me le dises, que tu me fasses lécher le sperme de tes amants. Je voudrais arriver et te trouver souillée, ici dans le canapé, au milieu du salon ou bien dans notre chambre. J’aimerais rentrer et que l’appartement pue la baise et le sperme.
    — T’es complètement fou ! Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Est-ce que tu prends vraiment la mesure du risque ? Si je prends un amant qui me baise mieux que toi, qu’adviendra-t-il de notre couple ? Je n’ai pas envie de te perdre !
    — Moi non plus, je ne veux pas te perdre ; mais je me rends compte que, depuis que nous utilisons les services de « Ben » et de « Joe », tu as retrouvé un certain appétit sexuel. Je ne peux pas te satisfaire.
    — Tu me combles parfaitement, c’est idiot ! Je t’aime et, surtout, je n’ai pas envie de coucher avec un autre.
    — Je ne le crois pas ; reconnais que tu prends du plaisir tous les jours avec tes jouets. Tu ...
    ... en prendrais largement plus avec de vraies bites, non ?
    — Ça n’est pas la même chose ! « Ben » et « Joe » servent notre imagination…
    — Et ton plaisir !
    — Oh ! Tu m’agaces à la fin ! Je ne veux pas de ça, c’est tout ! En plus, je suis sûre que tu serais beaucoup plus jaloux que tu ne veux bien le croire. Tu en souffrirais beaucoup et je ne veux pas te faire souffrir. Je ne veux même pas y penser !
    — Si tu dis ça, c’est que tu y penses quand même.
    — Connard !
    — Je voudrais simplement que tu sois parfaitement heureuse, que…
    — Mais, JE SUIS HEUREUSE ! Arrête avec ça ! Tu commences à m’énerver sérieusement !
    
    Ils en restèrent là et Marc s’efforça dans les semaines qui suivirent à ne pas remettre ça sur le tapis. Malgré son agacement et son refus de passer un jour à l’acte, une pensée obscure était maintenant fermement ancrée dans l’esprit de Lucile. Une graine qui n’attendait que les conditions favorables pour germer et faire évoluer encore leur sexualité. Ces conditions ne devaient pas tarder à se réunir…
    
    Lucile travaillait à temps partiel et rentrait chez elle en début d’après-midi. Cette situation lui convenait parfaitement puisqu’elle lui laissait du temps pour s’occuper d’elle, et accessoirement de sa maison. Elle pouvait ainsi, à loisir, aller chez le coiffeur ou l’esthéticienne pour entretenir son épilation, faire les soldes… et être disponible pour son mari quand il rentrait en début de soirée. Quand elle était chez elle, Lucile se mettait à l’aise. Elle se ...
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