1. Les 1001 perversions de Nathalie (12) - Débordements


    Datte: 01/12/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Egrewam, Source: Hds

    ... elle, elle va finir par succomber, dilatée et trempée comme elle est.
    
    L’homme retire son gourdin de la bouche de la femme. Il retourne Nathalie et la défonce sans préliminaires.
    
    Elle n’a pas eu le temps de dire non. D'ailleurs elle aime, elle titube sous les coups de boutoirs, ses mains trouvent le bord du bar, s’y agrippent. Elle se cambre, la jupe relevée jusqu’à la taille, chemisier ouvert, cheveux en désordre, elle retient encore ses cris.
    
    Elle halète. Les hommes se frottent à elle, la caressent, des langues dans ses oreilles la chatouillent, des dents sur ses tétons, des mains glissent sur son bas-ventre, exercent des pressions. La femme la regarde perdre la tête, elle l’excite.
    
    Un des hommes lui fourre ses gros doigts dans la bouche. Il les retire de sa bouche et les enfonce dans le cul de Nathalie. Elle geint, les doigts ne s’arrêtent pas.
    
    L'homme lui lèche l'oreille, murmure :
    
    - Tu es déjà toute ouverte…
    
    - Tu n’aimes pas… ?
    
    - Personne ne t’as appris ?
    
    - Avec le cul que t’as ?
    
    - Tu vas voir ce qu’on va te mettre, ce que tu vas prendre…
    
    - Tu vas aimer…
    
    Chacun y va de son mot. Et avant même qu'elle puisse répondre l’homme dégage ses doigts, et l’autre l’encule jusqu’à la garde. Nathalie ne peut réprimer un râle.
    
    - Tu es trempée, ne me fais pas croire que ça ne te plaît pas, espèce de garce !
    
    La femme se glisse sous elle et lape son clitoris, il est dur et enflé. Quand elle se retourne, elle branle un homme avec sa bouche. La ...
    ... femme lui murmure :
    
    - Alors, tu aimes ?
    
    Un sourire de peste illumine le visage de Nathalie :
    
    - Dis-lui de me défoncer le cul.
    
    L’homme ne se fait pas prier.
    
    La langue de la femme fouille sa bouche. Elle s’abandonne à eux. Leurs assauts la matraquent.
    
    Pendant que l’un après l’autre la liment, ils murmurent entre eux. Soudain, un des hommes l'attrape par le poignet et l’embarque à l’étage. La femme et les autres suivent, durs, le manche à l’air.
    
    Juan reste seul. Il se sert une Margarita, fume une cigarette, puis monte également à l'étage. Il croit entendre des cris qu’on étouffe.
    
    Là-haut, la charmante assemblée se compose de quatre mâles, nus, le pieu turgescent, qui font face à la grosse salope. Vautrée sur un canapé. Cuisses écartées. Sa toison, véritable forêt vierge, la dénonce : trempée, luisante de cyprine.
    
    Elle passe de l’un à l’autre. Elle se donne du mal. On voit bien qu’elle aime ça. Elle se donne à fond. Les queues sont raides, luisantes de salive. Elle les suce, gorge profonde, astique, branle. Ils l’installent, la positionnent. Leurs mains viennent se glisser entre ses cuisses, palper ses nichons, forcer ses lèvres, son con, son anus.
    
    Elle s’empale sur l’un, pendant que l’autre l’encule. Une verge envahit sa bouche. La dernière se place dans sa main. Elle ne rechigne pas à l’ouvrage.
    
    Montagne de corps enchevêtrés. Ils s’activent.
    
    Nathalie, debout au milieu de la pièce. Voyeuse, sa chatte la brûle. Ses seins sont gonflés. Elle aussi a ...
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