1. 3 ans de pénitence - 7


    Datte: 30/11/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: mia-michael, Source: xHamster

    ... mais ça ne fait pas mal.
    
    Elles rient toutes les deux. Jeanne y va de sa remarque:
    
    — Tu as l'air d'aimer embrasser nos pieds, petite souillon.
    
    Je bredouille:
    
    — Oui Mademoiselle.
    
    — C'est bon, relève-toi mais reste à genoux et ne bouge pas.
    
    J'obéis tout de suite. Embrasser leurs pieds, c'est dégoûtant. Mais ce qui est vraiment dégoûtant aussi, c'est le sol de la cuisine. Le bâtiment est ancien et son sol inégal est recouvert de dalles abîmées. Il y a des déchets de légumes et on a marché avec des chaussures boueuses. Quant au feu de bois, il y a encore quelques morceaux de bûches qui se consument, et plein de cendres.
    
    Elles vont chercher une vieille caisse en carton, un seau avec de l'eau claire, un autre avec de l'eau savonneuse, une brosse dure à tenir en main et une vieille serpillière.
    
    Lucie me donne ses consignes:
    
    — Tu mets les détritus dans la caisse, ensuite tu brosses le sol avec l'eau savonneuse et tu rinces. Il faut que ce soit impeccable. Tu lécheras le sol et s'il reste une crasse dans un coin, tu le boufferas. Compris?
    
    — Oui Mademoiselle Lucie.
    
    Je commence par ramasser les saletés qui sont par terre. Cette cuisine est immense et je dois avancer sur mes genoux…
    
    Jeanne, l'autre garce, ...
    ... intervient:
    
    — Elle est beaucoup trop lente, ce ne sera jamais fini à temps. Qu'en pensez-vous Mademoiselle Lucie?
    
    — Tout à fait d'accord avec vous, Mademoiselle Jeanne.
    
    Ah, elles s'amusent bien!
    
    Jeanne m’ordonne sèchement:
    
    — Mets-toi à quatre pattes!
    
    Quand c’est fait, elle remonte ma jupe d'uniforme et descend ma culotte jusqu'aux genoux. Elle ajoute:
    
    — Ça va te gêner. Mets-toi debout, enlève ta jupe et ta culotte, souillon.
    
    Je ne peux faire qu'obéir. Quand je me remets à quatre pattes, les fesses hélas on ne peut mieux exposées, une des deux me dit:
    
    — On la stimule?
    
    — Excellente idée!
    
    Elles prennent des grandes cuillers en bois et se mettent à frapper sur le bas de mes reins.
    
    Je crie:
    
    — AAAAIIIIEEEE! Ça fait mal!
    
    — Alors travaille plus vite, fainéante!
    
    Je me mets à ramasser le plus vite que je peux. Ouf, elles arrêtent de me frapper.
    
    Jeanne fait remarquer:
    
    — Ça fait quand même des jolies marques, ces cuillers.
    
    — Oui et puis comme ça, on ne risque pas de manquer son gros cul. Aaah! Elle ralentit!
    
    — NON!! AAAAIIIEEE!!!
    
    À nouveau, je prends une dizaine de coups de cuiller sur les fesses. Je ramasse à toute allure.
    
    A suivre.
    
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