1. Nous sommes vraiment allés très loin avec Tata Geneviève (4)


    Datte: 30/11/2020, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... fois son regard et il n’y avait pas de doute il n’arrêtait pas de me mater.
    
    Bien évidemment quand les slows sont arrivés, il m’a convié à venir partager les danses avec lui, je me suis retrouvée collée contre lui et je peux vous garantir que je me sentais en sécurité tellement il était grand et fort. Maintenant je lui étais totalement offert, et c’est lui qui donnait le rythme, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai mis mes bras autour de son cou ; même si ce dernier était assez haut pour moi. J’avais maintenant posé ma tête sur son épaule, mais en même temps, je l’ignorais totalement. Il avait mis ses mains dans le bas de mon dos et par moment il lui arrivait de me serrer contre lui, c’était à une de ces deux occasions que j’ai découvert qu’il avait une grosse érection. J’en concluais qu’il était impossible pour un homme de danser avec une femme sans que cela ne lui procure une gaule digne de ce nom. J’ai fait celle qui ne faisait pas attention à cela, même si à chaque fois qu’il me plaquait un peu plus fort contre lui je sentais son sexe au niveau de mon nombril. Au bout de trois ou quatre slows, les musiques plus énergiques sont revenues, il m’a même fait danser sur certaines me faisant tourner sur moi-même. Finalement c’était très agréable j’ai apprécié car le bas de ma robe se soulevait et cela me faisait un petit courant d’air.
    
    Il n’y a pas à dire Claude savait danser les pas les plus compliqués, il me tenait fermement et je me laissais guider, le résultat ...
    ... m’étonnait car finalement on s’en sortait bien. Ces danses lui permettaient de me pratiquer des attouchements, de me jauger, de me caresser et finalement il faisait ça avec beaucoup de discrétion, cela ne me déplaisait pas. À force de danser je commençais à légèrement transpirer, tout comme mon partenaire, maintenant quand j’avais l’occasion de poser ma tête sur son épaule, l’humidité de son cou se déposait sur mon visage. En fait durant cette soirée je n’ai fait attention à personne, j’étais avec Claude et le reste du monde n’existait pas. Quand les slows sont revenus, mon corps était un peu plus chaud et j’ai été me blottir contre lui.
    
    — J’adore le genre de femme comme toi.
    
    — Elles sont beaucoup plus accessibles et plus offertes que les autres.
    
    Où voulait-il en venir, est-ce qu’il avait découvert mon secret, dans ses propos il y avait de l’ambiguïté, j’étais un peu mal à l’aise. Pendant qu’il me parlait à l’oreille, il me serrait contre lui et il n’y avait pas de doute, il voulait me faire sentir qu’il me désirait.
    
    Voilà bientôt trois heures que l’on ne se quittait plus et qu’il était en train de me faire comprendre que je ne le laissais pas indifférent. Heureusement une pause allait m’être accordé car Geneviève et Coralie venaient me faire un petit coucou pour savoir comment ça va allait.
    
    — Votre cousine est d’une grande beauté.
    
    — C’est un plaisir de converser avec elle.
    
    — Décidément dans la famille, vous êtes toutes aussi belles.
    
    De tels propos ...
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