1. Châteaux en Espagne.


    Datte: 29/11/2020, Catégories: fh, hplusag, fplusag, vacances, piscine, hotel, hsoumis, Oral pénétratio, hgode, hsodo, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... premier déclenche une réaction chez Georges.
    
    — Tu te souviens ?
    — Bon anniversaire, mon chéri.
    
    C’est elle qui répond et lui tend un paquet. Il l’ouvre. À l’intérieur, un rouleau attaché avec un ruban et une enveloppe. Je suis assez loin, mais le rouleau semble être une photo. Il l’ouvre entièrement. Format A4, papier brillant. C’est une femme en photo. Je suis trop loin, mais à la façon dont Georges tourne l’image vers Lucina, je devine que c’est elle.
    
    — Ouvre l’enveloppe, mon chéri.
    
    L’image disparaît, le rouleau se referme sur lui-même.
    
    Dans l’enveloppe juste une carte. Une carte qu’il lit. Son regard passe de la carte à Béa puis l’invitée.
    
    — Tu es sûre de vouloir ? demande Georges à Béa.
    — Oui, c’est mon cadeau. Elle ne te plaît pas ?
    — Si, bien sûr que si.
    — Alors, pourquoi ne pas en profiter. Elle est tout à fait d’accord, n’est-ce pas, Lucina ?
    — Oui, Béa m’a beaucoup parlé de vous.
    
    Un silence qui se prolonge.
    
    — Et si on dansait ? lance Béa à la ronde. Marc, vous voulez bien être mon cavalier ?
    
    Deux couples. Danses langoureuses. Je sens le corps chaud de ma cavalière contre moi. Un peu plus loin, Georges et Lucina sont littéralement soudés. Mais rien ne se passe. Si j’ai bien compris, cette femme est le cadeau et Georges hésite manifestement à en défaire l’emballage.
    
    — Viens, laissons-les un peu seuls, me dit Béa qui comprend que notre présence peut perturber le couple.
    
    Ils nous suivent du regard, mais nous n’allons pas loin, ...
    ... juste assez afin que le paravent nous cache.
    
    — Chut, fait ma partenaire en me rendant complice de son subterfuge. Nous attendons et de temps en temps Béa jette un œil.
    — C’est part, dit cette enjôleuse. Moi aussi je regarde.
    
    Elle a raison, Lucina a pris les choses en main. Mais qui est cette Lucina que Béa a présentée comme une amie de longue date ? Elle connaît les gens du coin ? En tout cas « la Lucina » n’a pas ses deux mains dans le même panier. Alors qu’elle embrasse Georges, qui, le pauvre, doit subir les assauts d’une femme sublime, elle est déjà en train de lui enlever sa chemise. Le « pauvre homme » manifestement libéré du poids de sa conscience alors que sa maîtresse est partie, défait la robe qui bientôt tombe à terre.
    
    Mais le jeu est inégal. Alors que l’homme n’est que torse nu, la femme n’a qu’une petite culotte pour cacher sa vertu. Elle ne portait pas de soutien-gorge, mais j’imagine que ce n’est pas une surprise, tant ses tétons pointaient sous le tissu. Et quels tétons ! Et quelle poitrine ! Une perfection de deux lobes, bien en chair, généreux et pourtant se défiant de la pesanteur. Est-ce l’œuvre d’une nature qui a comblé cette femme ou la signature d’un artiste sculpteur de ces formes parfaites ?
    
    Peu importe pour Georges qui, découvrant ce chef-d’œuvre, y passe les mains pour en vérifier la vérité. La femme gémit de ce simple attouchement qui bien vite se transforme en adoration puisque bouche, langue, paumes et doigts en deviennent les ...
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