1. Comment j'ai humilié ma femme pour son plus grand plaisir (1)


    Datte: 29/11/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: gbbdsm, Source: Xstory

    ... juste pas transparente. Le haut en était muni de bretelles qui laissaient la place à un décolleté plus que révélateur et dont les échancrures latérales laissaient voir la moitié des seins pesants de Jennifer. Comme elle ne portait ni soutien-gorge ni petite culotte, on ne mentira pas en disant que cette pièce de tissu permettait de nier que Jenni se baladait à poils en rue, mais, en réalité, suggérait plus sa nudité qu’elle ne la cachait.
    
    Jenni portait ce jour-là des hauts talons et, à chaque pas qu’elle faisait, un spectateur attentif pouvait apercevoir le bas de ses fesses. Et, dans cette bourgade spécialisée dans le sexe, les spectateurs attentifs ne manquaient pas !
    
    Après avoir ainsi pratiqué le lèche-vitrines pendant une bonne demi-heure (assez bizarrement, cette localité concentre aussi de nombreux commerces divers et quelques belles terrasses de cafés, le tout alternant sans complexe avec les sex-shops et autres « salles de spectacles » à caractère érotique), un certain nombre « d’admirateurs » nous suivaient plus ou moins discrètement. C’était bien évidemment l’effet recherché.
    
    Tout allait donc bien. Comme de bien entendu, je bandais déjà quasi en permanence et ma main avait pu vérifier que les cuisses de Jenni étaient copieusement trempées.
    
    Quand arriva l’imprévu qui augmenta considérablement le degré d’exhibitionnisme sans que nous puissions le contrôler : un orage aussi soudain que violent nous tomba dessus. En un temps record les terrasses se vidèrent ...
    ... et les badauds se précipitèrent dans les commerces pour s’y abriter.
    
    Mais la violence de l’averse fut telle que nous fument tous deux trempés avant d’atteindre un refuge. En guise de refuge, nous avions atterri dans un magasin d’articles de cuisine. Il y avait tellement de monde, que les clients improvisés étaient vraiment serrés les uns contre les autres.
    
    Seulement voilà : il me faut à ce stade préciser deux points : tout d’abord, nous avons été suivis dans notre abri par plusieurs de nos « admirateurs ». Jusque-là, pas de problème. Mais ensuite, il faut signaler que la petite robe blanche légère de Jenny, détrempée par la pluie, en était devenue littéralement transparente. Dois rappeler que Jenni ne portait aucun sous-vêtement. Déjà sèche, sa tenue frôlait l’indécence ; détrempée, c’était absolument insoutenable. Car le contexte n’était pas adéquat du tout ; il y avait dans ce magasin, outre les quelques mecs voyeurs qui ne nous avaient pas lâchés d’une semelle, des enfants et des personnes qui clairement n’approuvaient pas notre présence...
    
    Très rapidement nous avons compris qu’il fallait ressortir et c’est alors que nous avons décidé de braver une nouvelle fois la pluie pour nous réfugier dans le premier sex-shop venu.
    
    De toute façon, la visite au sex-shop faisait partie de notre scénario, et, comme nous l’avions déjà plusieurs fois expérimenté, nous comptions bien terminer notre journée dans cet établissement. Le sort nous y seulement fait atterrir plus tôt ...