1. Premiers jeux humides


    Datte: 29/11/2020, Catégories: fh, couple, toilettes, Oral uro, init, confession, Auteur: Ondin, Source: Revebebe

    ... culotte déjà bien humide. Là elle se pencha en avant en se cambrant puis s’abandonna à mes caresses, laissant monter le plaisir en elle. Puis elle se retourna et je commençai alors à lui baisser le jean tout en l’embrassant sur la bouche.
    
    — Il faut que j’aille aux toilettes, fit-elle encore, laisse-moi seule un instant.
    
    C’est alors que j’eus cette audace de lui déclarer :
    
    — Vas-y si tu veux, mais je reste avec toi, je ne te lâche pas.
    
    Je m’attendais à une réaction du genre « tu es fou » ou bien, « ça ne va pas » mais rien ne vint. Elle se contenta de continuer à m’embrasser à pleine bouche, nos langues jouant jusqu’au fond de nos gorges. Elle continua aussi à subir mes caresses et à se laisser déshabiller. Son pantalon était tombé sur ses chevilles et son chemisier était par terre. Je dégrafai donc le soutien-gorge et recommençai à caresser son sexe à travers sa culotte. Mais cette fois-ci, la culotte était carrément trempée et les cuisses elles-mêmes étaient humides.
    
    Au moment où je passai ma main sous la culotte pour lui caresser le clitoris et passer mes doigts à l’intérieur de son sexe, entre les lèvres, elle me dit qu’elle ne pouvait plus se tenir debout.
    
    — Quand je suis bien, mes jambes ne me soutiennent plus.
    
    Puis elle se laissa glisser le long de la baignoire et, tout en se laissant masturber et en gémissant de plaisir, elle finit par se retrouver accroupie, les jambes bien écartées, adossée à la baignoire. C’est alors que, ne pouvant ...
    ... manifestement plus se retenir, elle lâcha un court jet d’urine entre mes doigts.
    
    — Oh, j’ai mouillé mon pantalon… et puis par terre. Et ma culotte est trempée, fit-elle. Il faut que j’y aille… laisse-moi.
    
    Je l’aidai donc à se relever. Elle finit d’ôter son jean, qui resta là, au pied de la baignoire. Nous allâmes ensemble jusqu’à la cuvette des WC. Elle se retourna pour s’asseoir. Je m’agenouillai puis, lui baissant la culotte le long de ses cuisses humides, je posai mes lèvres sur son sexe odorant, léchant les gouttes d’urine sur ses poils et glissant ma langue dans sa vulve.
    
    — Il faut que tu me laisses, je ne peux plus me retenir, dit-elle d’un ton presque implorant.
    — Vas-y, soulage-toi, ne te retiens pas, lui répondis-je.
    
    Elle s’assit alors sur la cuvette.
    
    — Tu veux vraiment me voir ? dit-elle d’un ton interrogatif mais qui n’attendait pas de réponse.
    
    Je répondis quand même :
    
    — Oui.
    — Tu en as vraiment envie ?… Oui ?… Alors, regarde.
    
    De ses deux mains, elle ouvrit sa vulve, écartant bien les lèvres, puis elle se soulagea complètement, laissant échapper un long jet dans la cuvette tandis que je lui caressais la vulve. Je restais agenouillé pendant tout ce temps, les yeux fixés sur sa vulve ouverte et sur ce méat d’où jaillissait cette fontaine d’urine et, quand elle eut finit, alors qu’elle saisissait déjà un morceau de papier, je lui proposai :
    
    — C’est moi qui vais t’essuyer.
    
    J’avançai ma tête entre ses jambes et je lui léchai toute la vulve, finissant ...