1. L'échafaudage complété


    Datte: 28/11/2020, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... fermais les yeux et laissais faire mes doigts.
    
    C'est ainsi que deux jours plus tard, Hussein et sa bande me trouvèrent sur mon canapé. Était ce voulu de ma part, j'avais laissé le rideau entrouvert et lorsque j'entendis de petits « toc toc » contre la vitre, je sursautais. Trop tard, trois paires d'yeux me regardaient, affalée sur le canapé, les cuisses largement ouvertes et une main glissée dans ma culotte. Comble de tout, j'avais laissé la baie vitrée entrouverte sans trop m'en rendre compte et il fut trop tard quand je vis trois mains sombres tirer la vitre qui coulissa avec un feulement sur ses rails.
    
    Hussein et ses deux acolytes étaient devant moi, je m'empressais de rabattre ma jupe mais ils étaient déjà sur le canapé et leurs mains m'empêchèrent d'aller plus loin. Bientôt j'eus leurs mains sur mon corps, je tentais bien de m'échapper mais les trois hommes étaient forts, et le fait que je me débatte, que je me tortille alors qu'ils m'entouraient semblait décupler leurs ardeurs. Ma jupe ne tarda pas à rejoindre la moquette, mon corsage fut ouvert, à moitié déchiré, j'entendais craquer les coutures et bientôt il vola lui aussi à travers la pièce. Mes seins dilatés par la maternité furent sortis du soutien gorge qui après mes autres vêtements me fut enlevé en même temps que ma culotte, mon dernier rempart, glissait le long de mes cuisses.
    
    J'étais nue.
    
    Des mains calleuses me forcèrent à me lever et à les suivre, et comme je me débattais encore, en proie à une ...
    ... panique irraisonnée, je me sentis tout à coup quitter le sol et je fus transportée et jetée sur notre lit. Je poussais un cri en tombant lourdement, je rebondissais sur le matelas moelleux et avant même que les mouvements ne cessent ils étaient la autour de moi, se saisissant de mon corps, pour de rudes caresses. Je gémis tant de surprise que de désapprobation mais leurs mains déjà me clouaient sur le lit tandis qu'ils massaient durement mes globes, faisant gicler de longs geysers de lait qui retombaient sur mon ventre. Ils se précipitaient, ils léchaient mon ventre, me prenaient les seins en bouche, je me tortillais j'essayais vainement de leur échapper, donnant des coups de pieds, de poings mais des mains fermes m'immobilisèrent. Rapidement ils fouillèrent la penderie et ils revinrent avec les cravates de Georges, qu'allaient ils faire? Je fus vite renseignée sur ce point quand ils me prirent fermement les poignets pour me passer les cravates autour et les lier au lit. Bientôt il firent de même avec mes chevilles et je me retrouvais pieds et poings liés à notre lit.
    
    Satisfaits de leur travail ils pouvaient tout à leur aise me peloter, me lécher, me sucer ce qu'ils ne se privèrent pas de faire. Hussein me regarda dans les yeux en même temps que sa main remontait le long de mes cuisses, il avait au coin des lèvres un sourire ironique. « C'est notre dernier jour » dit il en même temps que je sursautais quand ses doigts atteignaient ma fente. « On a bien travaillé et on mérite ...
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