L'échafaudage complété
Datte: 28/11/2020,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... noyé du sperme du précédent. Je le sentais me donner des coups furieux qui me faisaient mal au ventre. Je gémissais et il prit mes gémissements pour de la jouissance, je me tortillais sous lui et il ne tarda pas à lâcher sa semence tout au fond de mon ventre.
Ce fut Hussein qui prit son tour, propulsant en moi une bite deux fois plus épaisse que celle de Georges. Je pompais les deux autres en alternance, et j'avais en bouche le gout de ma propre cyprine que je léchais voluptueusement. Hussein s'acharnait sur moi, ses reins solides activaient une bite tendue et grossie par le désir sauvage de baiser une bourgeoise. Je l'ai senti se raidir, il a planté au plus profond de mon ventre le gland violacé de son membre et il a rugi son plaisir en laissant les spasmes et les tressaillements envahir son corps. Sa bite s'est mise à cracher des flots de sperme retenus depuis des mois passés sans une femme. Et quand il a fini de se vider dans mon ventre, je sentais encore les tressaillements furieux du sexe encore dur.
Lui aussi a voulu que je lui fasse une fellation, les autres étaient à peu près assagis quand je me suis penché sur l'impressionnant membre qu'il me tendait. Cette fois le gout de ma cyprine était mélangée au gout du sperme des trois ouvriers qui m'avaient si violemment et si furieusement baisée. J'ai bien ouvert la bouche, il le fallait pour accueillir cet engin presque aussi gros que mon bras. Je l'ai sucé et il a eu un second orgasme. Il s'est laissé aller dans ...
... ma gorge et son jus a dégouliné en moi.
Aussi rapidement qu'ils avaient surgi, ils se sont éclipsé en clin d'œil. Je suis restée dans le salon, assise au bord du canapé, les cuisses encore ouvertes, la jupe roulée autour de ma taille, la culotte autour d'une cheville, les seins sortis du soutien gorge d'allaitement.
J'ai lentement tourné mon regard vers le couffin où Eric dormait tandis qu'un remord et une honte sans fond est venu me submerger.
Je trainais cette honte toute la journée, vers le soir, je me décidais à faire quelques courses. J'attendis que les ouvriers eurent fini leur journées avant d'oser descendre. En revenant de l'épicerie, je croisais madame Félicie dans la cage d'escalier. Me guettait elle? J'en eue un fort soupçon, toujours est il qu'elle se précipita vers moi et me retint dans un coin sombre de son palier avant de me demander tout bas sur le ton d'une conspiratrice si les ouvriers étaient venus me voir. Prise au dépourvu, je commençais par rougir violemment avant de bégayer des mots incompréhensibles.
« Allons, allons ne soyez pas si prude » et se rapprochant de moi, levant la tête au niveau de mon oreille elle me glissa « Vous savez, ils viennent chez moi aussi! » Je la regardais bouche bée, même si je la soupçonnais d'être une coquette, comment imaginer que cette dame âgée et respectable puisse se laisser aller à des turpitudes avec des ouvriers jeunes et si vigoureux, je pouvais en témoigner! Mon regard devait parler pour moi car je vis ...