1. L'échafaudage complété


    Datte: 28/11/2020, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... pores, cela était tellement enivrant. J'en ai frémi malgré l'empressement qu'il mettait à me coller.
    
    J'ai fait mes courses et de retour à la maison, je me trouvais nerveuse, impossible de fixer mon attention sur quoi que ce soit. Je tournais en rond toute la journée et seule la tétée de l'après midi arrivait à me calmer, alors que Eric me suçait le téton avec délectation, je me laissais aller aux frissons, et fermant les yeux ma main libre disparaissait sous ma jupe et je me masturbais pour retrouver un semblant de calme après avoir joui tandis que Eric finissait de se gorger de mon lait.
    
    Le lendemain ma tension n'était pas retombée, j'étais plus nerveuse encore alors que l'heure de la tétée approchait. C'était aussi l'heure du casse croute des ouvriers sur leur échafaudage, je le savais, et tournant en rond je n'arrivais pas à me déterminer, devais-je laisser cette fenêtre ouverte? Devais-je détourner complètement mon attention de ces hommes qui campaient devant ma fenêtre? Je n'arrivais pas à me déterminer.
    
    Allant de la fenêtre au canapé, je ne saurais dire quand j'ai légèrement ouvert le battant de la porte fenêtre. L'Ai-je fait en conscience ou bien alors mon instinct de femelle a fait le travail? Je ne saurais le dire encore aujourd'hui.
    
    Il n'empêche que lorsque je sortais Eric de son couffin, ils étaient la derrière le rideau mal tiré, leurs trois têtes qui guettaient le moment où j'ouvrirais mon corsage, sans doute plus que nécessaire, dévoilant mon ...
    ... soutien gorge qui tendait mes seins gonflés de lait. J'ai défait le bonnet droit pour libérer le téton et je l'ai offert à mon fils qui s'est mis à me téter avec ardeur. Je gardais mon regard penché sur lui, évitant de lever les yeux vers les trois visages attentifs derrière les carreaux. Il n'y avait pas un mot entre eux, ils mataient c'est tout, et cela a duré tout le temps de la tétée. Et puis Eric m'a fait savoir qu'il était rassasié en rejetant mon sein. Rapidement il a fait son rot et je l'ai reposé dans le couffin pour une sieste jusqu'à la prochaine tétée.
    
    C'est à ce moment que j'ai entendu glisser la porte fenêtre qui s'est ouverte. J'ai levé les yeux et les trois ouvriers ont pénétré dans l'appartement. Je n'avais pas eu le temps de couvrir mon sein et la surprise de les voir au milieu de mon salon me paralysait. Ils mataient mon sein dénudé, le téton qui luisait encore de la salive d'Eric et du reste de lait qu'il avait pompé.
    
    Ils se sont avancé vers moi. En me tenant les bras, ils m'ont fait rassoir sur le canapé. Hussein s'est assis à ma droite et le pakistanais à ma gauche. Le troisième restait debout. Hussein a levé la main vers mon sein dénudé et a commencé à palper la masse douce de mon nichon. De son coté, le pakistanais a défait le rabat du bonnet gauche et il a dénudé à son tour mon téton, tout en me palpant le sein. Je ne bougeais plus, le souffle court, nerveuse, je les regardais faire sans pouvoir réagir. Le troisième homme devant moi se massait ...
«12...456...24»