L'échafaudage complété
Datte: 28/11/2020,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... vaginaux se distendre au passage de ce gland triomphant. Hussein me fixait avec curiosité, guettant le moindre rictus sur mon visage. Je crispais mes traits, me mordais les lèvres, mon souffle trahissait mon angoisse. Hussein semblait de plus en plus intéressé par mes réactions. Je me cambrais en lâchant une plainte quand le sexe démesuré atteignait le fond de mon ventre. Hussein me sourit, « Tu vois bien, il est entré en toi, tu as un peu mal parce que c'est la première fois, mais dis toi qu'après ça, tu es prête à accueillir toutes les bites de la terre. »
Je sentais cette chair dure et brulante sur toute la longueur de mon vagin. Mes chairs distendues à l'extrême me faisaient souffrir. Je serrais les dents pour ne pas crier, crispée sur la brulure qui irradiait dans tout mon ventre.
« Allez salope, prends ton pieds, profite en, tu n'en verras pas de si grosses tous les jours. Vas y Hamed, fais lui voir comment tu te sers de ta bite. »
A ces mots l'homme qui m'écrasait de son poids, se mit en mouvement. Je poussais une plainte, son sexe commençait à remuer en moi. Je criais de douleur, une douleur vive que je ressentais dans tout mon ventre. Mon pauvre utérus n'était plus qu'un feu au fond de mon vagin.
Je jetais un regard éperdu à Hussein mais il restait de marbre. Il se pencha vers moi et me demanda ce que je ressentais. « tu aimes sa queue à Hamed? Oui je sais elle est un peu grosse mais bon, tu verras comme elle est bonne. Chez lui au bled il lui faut trois ...
... femmes pour le soulager, alors tu imagines, ça fait presque un an qu'il attend une baise. Quand il rentre au bled, il engrosse ses trois femmes à chaque fois, que veux tu, il n'y a pas de pilule par la bas. »
Je regardais Hussein les dents serrées, m'efforçant de ne pas lui montrer une quelconque émotion, je figeais mon regard. Allongé sur moi, l'homme avait commencé à ahaner, j'avais son souffle pas très frais dans le cou, sa bite labourait mon pauvre vagin et son gland tapait durement mon utérus en feu.
« Laisse toi aller chérie, tu vas voir tu finiras par aimer. »
L'homme prenait son rythme maintenant, ses reins battaient à une cadence élevée. Je ne pouvais retenir des gémissements au-delà de la douleur que j'éprouvais. Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment la, j'étais femme, ces trois la, étaient en train de faire de moi une femme, une femelle, une vicieuse avide de bites. Hussein me fixait toujours, sans doute voyait il dans mes yeux la lueur de la lubricité.
Je sentis sa main s'agiter sur ma cheville soudain libre. Son compère de l'autre coté du lit avait lui aussi défait le lien sur ma cheville. Après ce furent mes bras qui furent délivrés, j'étais libre de mes mouvements. Hussein était attentif à mes réactions, il scrutait mon visage, cherchant la moindre réaction.
Je gémissais plus fort, entre douleur et jouissance que je sentais monter de mes chairs malmenées. La bite en moi fouillait mes entrailles, sa présence, sa force, ses palpitations de plus ...