1. L'échafaudage complété


    Datte: 28/11/2020, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... répéter « Dis moi que tu en as envie! » Ses yeux me fixaient profondément, je le sentais encore en moi, sa bandaison était moins intense mais il était encore bien présent dans mon ventre.
    
    « Allez! Dis le moi que tu aimes la bite! » Cet homme avait une trempe particulière, il était de ceux à qui on ne résiste pas.
    
    « Oui... » Ce ne fut qu'un souffle entre mes lèvres mais je le proférais à ma grande honte. Mais en matière de honte j'étais au-delà de toute pudeur.
    
    « Tu vois me dit il, je le savais, je le savais! Tu vas devenir la bonne pute que tu as toujours rêvé d'être sans jamais te l'avouer. » Je le regardais horrifiée et il partit d'un grand rire en voyant mon expression.
    
    « Tiens, me dit il, tu vas commencer tout de suite, regarde les bien, tu as vu comme ils sont beaux avec leurs bites bien droite et bien gonflées pour toi? » Il partit d'un grand éclat de rire tout en roulant sur le lit. Il fit signe au pakistanais de venir le rejoindre.
    
    C'était un homme de taille moyenne au corps brun, sombre. Son regard était enflammé et brillait comme deux perles noires sur sa face mate. Son sexe se dressait sur son bas ventre, tendu à l'extrême, dur à peine secoué de balancement quand il bougeait. Hussein l'encouragea et il s'affala sur mon corps, je ressentis son poids qui m'écrasait tandis que sa verge dure cherchait à s'introduire entre mes cuisses. Ce lui fut facile de trouver ma fente, car j'étais toujours écartelée sur mon propre lit. Je tressaillis de sentir un ...
    ... nouveau sexe raide et palpitant dans mon ventre. Hussein ricana près de moi, « Tu as senti comme il bande pour toi? Tu la sens bien sa queue de pakistanais? Il y a des mois qu'il n'a pas eu de femme ce pauvre homme, je compte sur toi pur lui donner ce qu'il attend. »
    
    L'homme qui me chevauchait n'attendit pas la fin de la diatribe de Hussein pour commencer à me donner de furieux coups de reins. Je le sentais aller facilement mais sans ménagement jusqu'au fond de mon vagin. Je me cambrais sous la douleur dans mon ventre. Je me mis à gémir, je tournais les yeux vers Hussein pour le supplier de lui dire de ne pas aller si loin. Mais je ne rencontrais que son sourire ironique comme figé à ses lèvres. Je criais sous les coups de reins forcenés qui propulsaient dans ma chatte endolorie un piston dur comme de l'acier. Je finis par serrer les dents, ne laissant échapper que des plaines assourdies. Mes yeux fixaient toujours Hussein, je haïssais cet homme maintenant mais il me fascinait aussi tant le vice suintait de sa personne, il lisait si bien mes pensées, il voyait en moi comme à travers une vitre. L'autre me tenait aux épaules, ses reins battaient à une cadence que je n'aurais jamais imaginée, il me faisait mal et pour la première fois je me laissais aller à la jouissance et à la douleur, les reins cambrés, me tortillant pour éviter que ce pieu de chair ne déclenche ce feu dans mon ventre à chaque poussée.
    
    « Vite, vite! »
    
    Je criais ces mots, sans réfléchir, juste l'envie ...
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