1. Vacances avec ma sœur (14)


    Datte: 28/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: pasdenom, Source: Xstory

    ... quelconque plaisir. Moi qui pensais que cette pratique représentait davantage une forme de domination de l’homme par rapport à la femme (et c’est pourquoi je ne l’avais proposé à aucune femme auparavant), j’avais tort. Ce moment fut un partage de plaisir, aucun de nous n’a dominé l’autre. C’était simplement une autre forme de don de soi envers l’autre, une autre façon de se prouver notre amour. En réalité, si elle m’a demandé de ne pas la juger, c’était par crainte que je la vois autrement. Mais la voir autrement est impossible pour moi, je l’aime et je ne pourrai jamais la voir de façon dégradante.
    
    Après ce premier essai réussi, nous prîmes la douche ensemble. Comme si nous n’étions jamais rassasiés de sentir le corps de l’autre, lavage mutuel, caresses et baisers vinrent agrémenter ce nouveau moment de partage.
    
    — Ton gars t’attends ce soir ? demandais-je à ma soeur.
    
    — Oui, pourquoi ?
    
    — J’avais envie de dormir avec toi.
    
    — Vu qu’il m’attend ce soir, je ne peux pas annuler sans une bonne excuse. Mais je te promets de me libérer pour demain. On passera la nuit ensemble sans problème.
    
    Après avoir quitté la douche et s’être rhabillée, ma soeur m’offrit une dernière séance de baisers puis quitta mon appartement. Quant à moi, n’ayant pas de compagnie pour la ...
    ... soirée, je pris contact avec l’autre fille qui accepta de venir dormir chez moi, ignorant tout de la scène qui s’était produite quelques heures plus tôt sous ces mêmes draps. Pourtant, je ne les avais pas changés, il devaient probablement être encore imprégnés de notre transpiration, mais il semblerait qu’elle n’a rien senti. À elle aussi je lui ai fait l’amour, mais cela n’avait aucune comparaison avec ma soeur. J’aurais dû avoir honte de me servir ainsi de cette fille qui avait probablement un début de sentiments pour moi, mais cela ne me fit rien. Je savais depuis le début que cette relation ne durerait pas. J’étais incapable d’aimer une autre personne que ma soeur.
    
    Le lendemain, ma soeur tint sa promesse, et nous pûmes partager une nuit ensemble, aussi magique que les précédentes. Toutefois, cette nuit-là, nous fîmes l’amour de façon plus classique. Ce n’est pas parce que nous avions tous les deux apprécié la sodomie que nous allions maintenant en faire notre façon principale de nous unir.
    
    Quelques jours après cette expérience, ma sœur me fit un aveu. Si, par besoin de cacher notre relation, elle acceptait de coucher avec d’autres hommes, elle me promit que malgré la demande de son partenaire, personne d’autre que moi n’explorera l’autre partie de son intimité. 
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