1. Clope


    Datte: 28/11/2020, Catégories: f, Collègues / Travail cérébral, revede, Masturbation fgode, fsodo, Auteur: Catmilk, Source: Revebebe

    ... glissent entre mes jambes et trouvent mon clitoris étonnement ferme et tendu. Je place mon index et mon annulaire autour et tire délicatement vers le haut pour laisser sortir mon clito de sa cachette. Je sens la chaleur de l’eau détendre chacun de mes orifices. Mon majeur vient presser délicatement mon sexe et glisse de bas en haut. Mes genoux sortent de l’eau. Je me caresse doucement. Mes fesses sont bien écartées dans cette position et je sens l’eau chaude entrer un peu dans mon anus. J’imagine les doigts de ce mec s’y introduire. Faire de lents allers-retours. Sentir passer profondément chaque phalange.
    
    Soudain me revient en tête ce moment où, en sortant du bar, je recroisai ce type. Il était sorti fumer une cigarette. Dans un désagréable nuage de fumée mentholée, il m’en proposa une et en profita pour me dire qu’il aimait beaucoup mes seins et mon cul, et me demanda où il pouvait trouver un bar pour passer du bon temps, dans des termes suggérant très clairement que je devais bien m’y connaître en clubs libertins.
    
    Mon Dieu, mais quel beauf !
    
    Terriblement surprise, j’écrasai ma clope à peine allumée et filai rapidement vers ma voiture. Il me rattrapa rapidement, émit des excuses rhétoriques et m’offrit son paquet de clopes en guise de pardon. Je n’avais pas envie de traîner, j’ai pris le paquet, l’ai enfourné dans mon Louis Vuitton, lui ai rendu un sourire rhétorique et suis rentrée chez moi.
    
    —ooOoo—
    
    La chaleur de l’eau commence à se faire de plus en plus ...
    ... discrète, et la pensée des clopes qui se trouvent dans mon sac à main mettent vite court aux caresses. Je me lève, vais dans l’entrée, attrape mon sac et retourne dans la salle de bain.
    
    Je sors le paquet, l’ouvre et en tire une clope. Je ne fume jamais de Marlboro menthol mais pour ce soir, ça fera l’affaire. En reposant le paquet sur le bord du lavabo, je vois qu’il y avait quelque chose d’écrit au Bic.
    
    Incroyable… Ce mec ne manque vraiment pas d’air. Aucune chance que ça marche avec moi, ce genre de plan naze.
    
    Et pourtant, je suis là, nue debout devant mon miroir, dans le vague à regarder mon corps athlétique, encore sous l’effet désagréablement excitant de ces quelques mots sur un bout de carton. Il n’avait pas tort, c’est vrai que ma poitrine n’est pas mal, bien ferme tout comme mes fesses. J’allume la cigarette, prends une bonne bouffée et aussi brusquement qu’inattendu, le parfum si particulier de ses Marlboro menthol cristallise instantanément dans mon cerveau l’image de sa bouche, de ses mains… de sa « belle grosse queue ».
    
    Je le vois, grand, une musculature massive et lourde, une sorte d’ours avec une belle bite épaisse entre les cuisses.
    
    Recrachant la fumée, l’odeur de ce nuage fait apparaître dans mon esprit ses deux énormes mains, l’une me pressant un sein et l’autre glisse ses doigts au fond de ma chatte. Je n’en peux plus. Plus je tire sur la clope plus je mouille et plus mon corps se cambre d’excitation. Je pince fort mon sein bien dur d’une main, ...