Sans domicile fixe
Datte: 28/11/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
volupté,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... libre !
— Je te garde avec moi. D’abord, je t’emmène au restaurant, belle comme tu es !
— Je voudrais d’abord un peu m’arranger, tu permets ?
Elle va dans la salle de bain. Quelques minutes après, elle l’appelle :
— Viens voir, ça va comme ça ?
Nue, les coudes appuyés sur le lavabo, elle se regarde dans la glace, les jambes écartées, elle lui présente une paire de fesses magnifiques.
— Que penses-tu de mon rouge à lèvres ?
Il se précipite sur les lèvres, pas celles qu’elle est en train de maquiller. Assis entre ses jambes, il retrouve le goût qu’il avait particulièrement apprécié l’autre nuit. Ses mains partent à la rencontre de deux poires bien gonflées, toutes mûres. Elle a lâché son fard, se cramponne au lavabo, ses jambes fléchissent et bientôt elle s’écroule sur les cuisses de Julien. Elle mord les lèvres masculines, y retrouvant son parfum intime. Il se relève, elle reste accrochée à lui, les jambes nouées autour de ses hanches. Ainsi ceinturé, il se dirige vers la chambre et s’écroule sur elle. Mais elle se dégage et le dépiaute rapidement. Puis couchée, écartelée, elle l’attend. Pour la première fois, il peut vraiment l’admirer. Comme elle est belle ! Déjà, sous ses oripeaux elle lui semblait jolie. Lorsqu’ils ont fait l’amour, il n’avait pas pu la voir. Il découvre une nouvelle femme. Cette admiration produit un effet évident sur sa libido. Il bande comme un cerf !
— Je t’en supplie, ne me laisse pas sur ma faim, implore-t-elle, viens ...
... m’aimer.
Alors, comme un gourmet, il déguste ce plat délicat. Du bout des lèvres, il attaque par le haut. Le visage a la peau si douce, mais deux mains lui saisissent la tête et les bouches se heurtent. C’est un long combat passionné où il n’y a pas de gagnant, chacun ayant mis toute son énergie dans la lutte. Mais aussi attirant que soit ce morceau, il aime bien aussi les fruits, d’abord les poires qui se sont légèrement tassées, comme celles cuites au four. Il en saisit une de la main gauche et en fait rouler la pointe entre ses doigts. Il mordille l’autre, côté cœur, déclenchant un doux gémissement. Longtemps il reste sur ce terrain, changeant parfois de côté, mais sans protestation de l’intéressée.
Pourtant deux mains lui font lâcher prise et le repoussent vers un domaine plus odorant. Dans la vallée des jambes écartées, il s’intéresse à la mousse déjà humide. Il trouve dans la brèche la source et surtout le bouton. Du bout de la langue, il le dégage, le fait vibrer. La plainte s’amplifie, devient monologue.
— Plus vite, oui, encore…
Alors, un, deux puis trois doigts s’introduisent dans le tunnel. Ils se meuvent, tournent avec facilité dans ce conduit bien lubrifié. Le suc inonde la main. Julien vient boire au bas du ruisseau, remonte sur l’autre versant et trouve l’entrée des artistes. Le pouce gauche bien mouillé entre sans trop de difficulté dans ce nouveau passage. Mais cette introduction déclenche un cri d’alarme et une crispation totale de Béatrice. Elle retombe ...