1. Le monde d'en Haut


    Datte: 28/11/2020, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Damemature, Source: xHamster

    ... laquelle j’eus toutes les peines du monde à les gober, chacune à leur tour.
    
    J’ouvrais légèrement les lèvres et les présentait au-dessus de sa bite. Avant de plonger ma bouche, je le fixai , d’un regard que j’espérai coquin et pour tout dire, peut-être même très très érotique. Et hop ! Voilà votre Dame au travail ! Même si, à n’en pas douter, cette fellation n’avait rien d’un travail mais s’assimilait plutôt à une magnifique partie de plaisir. Plaisir réciproque si j’en juge par les gémissements qui se mirent à voler autour de ce visage jusque là, tendu. Le stress avait bel et bien disparu ! De mon côté, il faut vous dire que j’avais beaucoup de mal à garder une telle bite dans ma bouche. Je salivais tant que je pouvais et mes groumfs et autres ouuufs… N’avaient rien d’érotique ! Aussi, lorsque, emportée par la passion, je me risquai à une gorge profonde, je failli m’étouffer ! Je remontai vite à la surface pour prendre un peu d’air, comme un plongeur enivré du spectacle sous-marin se résout à remonter dans le triste monde. Et, aussitôt ma provision d’air reprise, je repartais de plus bel vers le pays des délices. Je senti son corps d’athlète se raidir. Dans ma bouche, les veines de son sexe palpitaient fiévreusement. J’accélérai encore le rythme autant que je pouvais. Il lâcha un grand cri rauque et se libéra de tout son ...
    ... foutre. J’avalai et j’avalai encore ! Mon Dieu ! J’ai bien cru qu’il ne s’arrêterait jamais de jouir encore et encore ! Puis, je restai quelques secondes le sexe en bouche, ressentant jusqu’aux palpitations effrénées de son coeur. A ce moment précis nous faisons vraiment corps, j’avais l’impression que nous n’étions lui et moi, qu’une seule et même personne. Un être double, totalement hors du monde. Mais, il faut bien revenir à la réalité, hélas. J’eus tout juste le temps de me séparer de mon double avant que la petite bonne entrevue tout à l’heure ne fasse son entrée dans le salon.
    
    -Monsieur a appelé ? Demanda-t-elle d’une petite voix douce, pendant que je tentais de reprendre une expression totalement détachée.
    
    -Non, Béatrice, répondit le maître de maison, d’une voix beaucoup plus forte.
    
    Probablement entraînée à se montrer toujours discrète, la demoiselle fit volte-face et quitta le salon sur le champs.
    
    A peine avait-elle tourné les talons que son maître se redressai, puis, vint se positionner à côté de moi pour me présenter sa pochette de soie. Je l’acceptai et jetant un bref regard en direction du vieil homme dans le cadre je pensai :
    
    -Eh, oui, mon vieux. Il faut t’y faire, les mœurs ont bien changés !
    
    Evidement la soirée ne faisait que débuter.. Après dîner… Mais, je vous raconterai tout cela une autre fois. 
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