Belle fille(s)
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
Auteur: Francis4560, Source: xHamster
Je m'appelle Jean, quarante deux ans, plutôt charmant, voire charmeur, à ce que l'on dit de moi. J'ai épousé Brigitte, un peu plus jeune que moi. Brigitte a eu deux filles d'un précédent mariage et a été veuve très rapidement après la naissance de la deuxième.
Depuis douze ans, j'assume plus que le rôle de père envers Laetitia qui a vingt ans et vit sa vie avec frivolité et Aurélie, dix huit ans, plus sage.
Si mon épouse, outre sa beauté, déborde de qualités, elle présente l'inconvénient d'avoir des difficultés à parler avec ses filles.
Au point que c'est souvent moi qui doit aborder des sujets épineux. Les premières règles, les copains, les relations conflictuelles entre filles. Bref, je les rassure, les conseille et même finance les sorties et leur fournis ce qu'elles désirent. Elles ne sont pas, génétiquement, mes filles, mais je les aime en tant que telles.
Ce soir de début d'été, Laetitia est de sortie et nous a averti qu'elle ne rentrerait pas ce soir. Elle dort chez son petit copain.
La nuit commence à tomber et Aurélie n'est pas encore rentrée. Je m'inquiète un peu et suis près de lui envoyer un texto, quand elle entre en pleurs et monte directement dans sa chambre en claquant la porte, très en colère.
Je dis à mon épouse :
« Bon, je vais aller voir ce qu'il se passe »
Je toque à la porte de ma belle-fille, mais elle ne répond pas. Je l'entends pleurer et mon cœur se fend. J'entre dans sa chambre, les volets sont fermés et laissent passer ...
... les derniers rayons de soleil.
Aurélie est sur son lit, toute recroquevillée et pleure à chaudes larmes.
Je m'approche d'elle, n'y voyant pas grand-chose car mes yeux ne se sont pas habitués à la relative pénombre de sa chambre. Je m'agenouille au bord de son lit, lui caresse les cheveux et lui demande la raison de son chagrin.
« Qu'y a-t-il ma chérie ? »
Elle grogne et j'insiste doucement. Elle se tourne vers moi et sanglote :
« C'est Julien, il m'a plaquée et sort avec ma copine devant mon nez ! »
Je me penche vers elle et lui dépose de petites bises sur l'épaule, en tâchant de la rassurer au maximum.
Rien n'y fait ! Elle pleure de plus belle. Je suis embarrassé, ne sachant quoi lui dire, elle, bafouille :
« Les mecs, c'est tous des salauds ! Ils ne pensent qu'à leur queue ! »
Elle dit ça avec une colère triste.
« Mais non Aurélie, tu es une jolie fille, tu es intelligente, je suis sûr que tu trouveras ton prince charmant. Ce Julien n'était pas fait pour toi, c'est tout ! »
Je ponctue mes mots de petites bises sur son bras, son avant-bras, ses doigts, puis remonte vers son épaule. Imperceptiblement, elle a penché la tête pour m'offrir son cou.
Elle sent bon, sa peau est douce et j'aime ce moment de câliner la fille de mon épouse.
J'agis alors tout paternellement, sans aucune arrière-pensée.
Elle se calme, mais sanglote toujours.
Je reprends mes bises sur son épaule, tout en effleurant la peau de son bras, quand ma main touche la ...