Jour de l'An
Datte: 28/11/2020,
Catégories:
fh,
couleurs,
fête,
fdomine,
miroir,
hdanus,
hgode,
occasion,
fsodoh,
Auteur: Tryme, Source: Revebebe
Une amie m’a invité à une fête pour le jour de l’An chez l’une de ses connaissances. Il fallait juste amener une bonne bouteille de vin. Ça tombait bien, il me restait une bouteille de Tariquet. Un petit vin blanc sec de bonne tenue qui passe très bien avec les huîtres.
Il y avait une petite douzaine de personnes. Dont les trois quarts de femmes. J’adore les soirées où les femmes sont en nombre. Pas seulement parce que, célibataire que je suis, je peux regarder, évaluer, flirter en toute tranquillité mais surtout parce que la plupart du temps, ce sont des soirées qui sont beaucoup plus détendues et plus sympas.
Mon amie me présente au maître des lieux et comme nous sommes les derniers arrivés, nous saluons tout le monde les uns après les autres.
— Bonjour, Samuel, enchanté de faire votre connaissance…
J’aime la diversité des femmes. Des visages, des sourires, des regards, des corps, des façons de bouger, des odeurs, des voix, de la façon dont elles embrassent pour des bonjours. Le contact des lèvres sur la joue lorsqu’on ne se connaît pas. Toutes ces petites choses qui nous donnent un instantané des personnes que l’on rencontre. En plus, avec mon sax à l’épaule, ça provoque toujours des petits riens dans le regard et les attitudes. Bref, les premiers contacts sont souvent déterminants.
On me sert un verre et je commence à discuter avec un peu tout le monde et me mets à aider dans la préparation de la soirée. Au bout d’une petite heure, une dernière invitée ...
... arrive. Marie. Une petite Antillaise, bien en forme avec une très belle énergie et d’une sensualité qui m’interpelle sur le champ. Et lorsqu’elle m’embrasse pour me dire bonjour, ses lèvres, son odeur, sa façon de bouger m’électrisent. Et elle le sent.
La soirée se déroule, on boit, on passe à table, on plaisante et on danse. Une pièce de l’appartement a été aménagée pour ça et je me laisse aller. Ça fait longtemps que je ne me suis pas senti aussi détendu et je me laisse porte par l’ambiance. C’est elle qui vient m’inviter à danser sur un zouk. Elle se colle à moi et nous dansons tout en plaisantant. Les lumières sont tamisées et soudain je sens une de ses mains qui vient caresser mes fesses. Le zouk fait place à un slow et elle se colle contre moi en m’attirant contre son ventre. Elle se met à onduler et mon corps se manifeste par une érection qui se développe à grande vitesse. Comme elle est vraiment plus petite que moi, je me retrouve tendu juste sous sa poitrine très généreuse. J’aime aussi les femmes rondes quand elles sont fermes et qu’elles assument leur corps. Et là, je bande vraiment et elle joue de ça. Elle s’écarte légèrement, me regarde en riant dans les yeux et me dit :
— Hmm, tu m’as l’air d’être émotif !
— Non, je suis juste sensible.
— À quel point ?
— À toi de voir si tu veux.
— OK, mais c’est moi qui mène la danse.
— Pas de problème, ça me va.
Nous continuons de danser et la soirée se déroule dans la bonne humeur. Vers deux heures du matin, elle ...