1. Première rencontre avec Clémentine (4)


    Datte: 27/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: anaximandre, Source: Xstory

    ... main de mon intimité et décidai alors de ne plus bouger simulant alors le sommeil. La porte se referma et quelqu’un approcha dans le noir à pas feutré de mon lit. La couette se souleva dans mon dos et je sentis cette personne rentrer dans le lit. Je faisais toujours semblant de dormir. Bientôt, je sentis des mains se poser sur mes hanches et commencer à caresser mes fesses. Cela ne pouvait être que mon frère. Lui aussi devait repenser à notre après-midi et ce petit salaud m’avait prise au mot. Il venait me rejoindre dans mon lit. Ce contact inattendu attisa un puissant désir en moi que j’avais commencé à effleurer de mes doigts. Je trouvais toutefois intéressant de ne pas réagir et de faire comme si de rien était. Il se rapprocha de moi et, bientôt, je le sentis se plaquer contre mon dos. Son bras m’enroulait et sa main vint se perdre sur ma poitrine qu’il commença à peloter. Au niveau de mes fesses, je pouvais clairement sentir son sexe dur. Il se mit alors à faire de petits mouvements de bassin pour le frotter contre moi. Une vague d’excitation m’envahit, mais je ne bougeais toujours pas. Sa main se dirigea vers l’élastique de mon pantalon et le tira vers le bas découvrant mes fesses vu que je ne portais pas de culotte. Ses doigts s’insinuèrent entre mes cuisses et parcoururent rapidement ma fente qui était ...
    ... bien humide maintenant. Rapidement ses doigts furent remplacés par sa queue qu’il dirigeait sous la couette vers ma chatte. Je restais toujours inerte essayant de maîtriser ma respiration. Je sentis sa bite venir lécher ma vulve puis me pénétrer d’un coup. Je ne pus retenir un petit gémissement. Mon frère commença à me sauter dans mon lit, dans le noir, sans que nous ayons prononcé un seul mot. Je sentais son membre me remplir, rentrer et sortir. Dans cette position sur le côté, je serrai mes cuisses et contractai mon vagin sur sa queue. Ses doigts venaient branler mon clitoris. Je me mordais les lèvres pour ne pas gémir, n’émettre aucun son. Le seul bruit était celui de ses mouvements de piston, le bruit d’une chatte de pute baisée par une queue bien dure. Il se mit à accélérer en moi, signe qu’il allait jouir. Le mouvement de ses doigts sur mon clito suivait la même cadence. Nouvelle décharge, nouvel orgasme, puis quelques secondes après le flot de foutre enfin libéré qui vint taper au fond de ma chatte. Il se retira tout de suite et partit sans un mot, comme il était venu, me laissant là, le ventre remplit de son sperme. Il était venu dans ma chambre juste pour vider ses couilles en moi. Je remontai mon pantalon. Je me sentais salope, heureuse, toute honte m’avait abandonnée. Cette nuit-là je dormis paisiblement. 
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