1. Anne-Charlotte chez le médecin.


    Datte: 27/11/2020, Catégories: fh, inconnu, médical, massage, fdanus, Auteur: Cupid Come, Source: Revebebe

    Depuis le début de journée, Anne-Charlotte se sentait un peu patraque. Son état ne s’étant pas amélioré, elle décida en début d’après-midi de voir un médecin. Elle réussit à obtenir un rendez-vous à 17 heures, dans un cabinet médical tout proche.
    
    À l’heure dite, elle fut introduite dans une salle d’attente déserte : « Tant mieux » pensa-t-elle, ayant horreur de perdre son temps à lire des magazines ineptes au sein d’une assemblée de gamins morveux et de vieillards au teint maladif se raclant bruyamment la gorge. Quelques minutes plus tard, elle entendit des bruits de portes, un homme adresser quelques paroles à un autre, puis enfin la porte s’ouvrit :
    
    — Allons-y ! lui enjoignit le médecin entre deux ages, à l’air sérieux, en lui indiquant la direction de la main.
    
    Elle le précéda dans la salle de consultation, rassurée par l’atmosphère de propreté et l’odeur saine qu’elle y rencontra. Ne l’eut-on pas su, on n’aurait pu deviner qu’avaient défilé ici, toute la journée, des gens malades.
    
    — Alors ! Qu’est-ce qui vous amène mademoiselle ?
    
    Le ton de sa voix était chaleureux et bienveillant, son air professionnel et compétent ; aussi Anne-Charlotte se détendit-elle, réconfortée par l’idée somme toute un peu naïve d’être en de bonnes mains.
    
    Elle lui fit part de son problème. Le médecin opina plusieurs fois puis déclara :
    
    — Bien, nous allons regarder ça. Veuillez vous déshabiller s’il vous plaît.
    
    Elle s’exécuta, ne conservant que ses sous-vêtements blancs et ...
    ... ses socquettes.
    
    Après lui avoir mesuré la tension et écouté son coeur, le médecin lui posa quelques questions supplémentaires puis, avec un sourire franc visant à la rassurer, lui annonça qu’il allait procéder à quelques examens de routine si elle le voulait bien. Elle acquiesça.
    
    À sa légère surprise, il commença alors à palper son ventre, puis, doucement, tout en conservant cet air de concentration détachée, il remonta peu à peu jusqu’à exercer de petites pressions à la base de ses seins. Un peu inquiète, elle se demanda alors s’il recherchait une tumeur ou quelque chose de ce genre, mais elle n’osa pas lui demander confirmation. Elle préférait se laisser aller sans se poser de questions, afin d’empêcher toute angoisse superflue d’envahir son cerveau. De plus, elle remarqua avec malice combien les mains de cet homme étaient douces et qu’après tout il savait bien ce qu’il faisait et lui ferait un résumé complet de son état de santé une fois qu’il aurait terminé de l’examiner.
    
    Il se plaça alors juste derrière elle, et avec ses deux mains, caressa en un mouvement circulaire ses deux seins partant de la périphérie pour se rapprocher du téton, les soupesa, les palpa, comme pour mesure leur parfaite symétrie. Elle rougit un peu en s’apercevant que les bouts de ses seins avaient durci, qu’allait-il penser d’elle ? Mais ma foi c’était fort agréable, et alors il brisa le silence :
    
    — Vous me dites que vous avez mal au dos, n’est-ce pas ?
    
    Elle hocha la tête.
    
    — On va ...
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