Vive la différence d'âge ! - Histoires de Sexe

Vive la différence d'âge !

... en blanc :

— Alors, tu vas rester debout devant moi comme un benêt, ou tu vas te décider à me baiser ?

Je ne répondis pas, estomaqué par ce qu’elle venait de me dire.

— Qu’est-ce qu’il y a ? Tu ne sais pas comment faire ? Tu es toujours puceau ?
— Non, ce n’est pas cela. C’est que je ne l’ai jamais fait avec…
— Avec une femme de mon âge, c’est ça que tu veux dire ?
— Oui…
— C’est sûr que ça va te changer. Je devrais te donner un peu plus de plaisir que les gamines de ton âge… Allez, viens là !

Sur ces mots, elle se leva, alla fermer la porte de la chambre et me tira vers le lit en me saisissant par la ceinture. Elle se rassit sur le bord du lit et me positionna debout face à elle. Sans un mot, elle fit tomber mon pantalon sur mes chevilles et sortit mon sexe tendu de mon caleçon. Tout en me branlant, elle commenta ma verge :

— Pas trop mal ; on devrait pouvoir s’amuser avec cela.

Puis elle l’engouffra dans sa bouche et me suça avec la plus grande des délicatesses. Je n’avais pas encore une grande expérience à cette époque, mais c’était de loin la meilleure fellation qu’on ne m’ait jamais faite. Sa langue dansait sur mon sexe et elle n’avait aucune difficulté à l’avaler entièrement. Au bout de quelques minutes qui me parurent bien trop courtes, elle arrêta de me sucer, fit glisser son string le long de ses cuisses et l’envoya voler dans un coin de la pièce. Elle s’allongea au milieu du lit, écarta les cuisses et m’ordonna :

— Allez, au boulot ! Viens ...

... me montrer ce que tu sais faire !

Je m’allongeai sur elle et présentai mon sexe à l’entrée de sa grotte. Elle l’attrapa et le guida en elle. D’un coup de reins, je rentrai en elle. Oh, quelle divine sensation que de glisser dans ce vagin humide ! Ses mains se crispaient sur mon dos alors que je caressais ses cuisses et ses fesses. Elle me murmurait à l’oreille ce qu’elle voulait que je fasse, comment et à quelle vitesse bouger. Je restai à ses ordres quelques minutes, puis elle me demanda de rouler sur le lit pour qu’elle puisse me chevaucher. Je m’exécutai et, alors qu’elle commençait à s’agiter sur moi, mes mains glissèrent dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge toujours en place et libérer ses jolis petits seins.

Je la laissai bouger sur moi, à son rythme, tandis que mes mains couraient sur son corps, s’attardant beaucoup sur ses fesses que je trouvais étonnamment fermes pour son âge et ses seins dont les tétons pointaient fièrement vers l’avant ! Isabelle ne s’occupait pas de moi, se concentrant uniquement sur son plaisir, laissant échapper de petits cris par moments. Imperceptiblement, elle accélérait le rythme et je sentais que mon plaisir aussi montait. Je faisais tout pour me retenir, mais je sentais qu’un tel traitement n’allait pas tarder à me faire exploser. Elle s’en rendit compte aussi et ralentit le rythme :

— Tu n’en peux plus ?
— Là, ça devient très dur de me retenir…
— Alors on va changer car je ne veux pas que tu jouisses avant moi !

Elle ...