Un gendre parfait - 03
Datte: 26/11/2020,
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Auteur: Thomas C, Source: Revebebe
... puis enfilai un shorty et un tee-shirt pour mon footing quotidien. Lorsque j’en revins, Marie était au téléphone dans le salon, vêtue d’un paréo transparent et elle était visiblement de nouveau avec son amie au téléphone. Je filai prendre une autre douche et bientôt Marie vint frapper à la porte. Son paréo était noué derrière la nuque, drapé sur ses seins, laissant son ventre et son sexe visibles.
— Caroline a emmené son mari à l’aéroport et sort avec nous ce soir… pas trop déçu ?
— Non pas déçu, car elle est très agréable, mais ce qui est dommage c’est pour les idées que tu avais… Elles auraient pu me plaire !
— Cela n’empêche peut-être pas… Déjà, c’est toi qui vas me dire comment m’habiller…
— Tout dépend de ce que vous avez prévu de faire et où nous sortons.
— Un resto et ensuite on verra… Ça te convient Thomas ??
Je la regardai… Marie était appuyée contre mon bureau, hanches en avant et épaules rejetées en arrière et mon regard était irrémédiablement attiré par son sexe délibérément offert.
— Une chose est sûre, c’est que tu ne pourras pas sortir comme ça, mais j’aimerais bien que tu t’habilles assez court si cela ne te pose pas de soucis vis-à-vis de ton amie… Un petit haut et une jupe… Ou bien… une robe serait agréable… Tu me montres ce que tu as à proposer ??
Je suivis Marie dans sa chambre et m’assis. Marie sortit plusieurs petits ensembles assez courts et mon choix se porta sur un haut noir, dos nu, se nouant sur la nuque, légèrement brillant et dont ...
... la fine matière semblait élastique. Je l’invitai à le passer et Marie quitta son "drapage". Ce haut, que je ne lui connaissais pas, lui allait à merveille et moulait sa lourde poitrine dans les moindres détails. Je ne cessais de m’étonner du corps de cette femme malgré ses 49 ans. Je l’invitai ensuite à choisir elle-même de quoi se chausser et elle choisit une paire de mules noires à talons hauts. Ni elle ni moi n’avions encore évoqué le "problème" des dessous, ni celui de sa jupe. Marie s’accroupit en face de moi pour ranger la boîte de ses mules, ce qui me permit d’admirer encore son coquillage ouvert. Marie sourit, elle avait suivi mon regard.
— Tu n’as plus le plug ?
— Non, je l’ai retiré quand je suis allée me doucher.
— Dommage, l’idée me plaisait bien !
— Il est quand même un peu gros… mais je sais qu’il en existe des plus petits, plus faciles à garder.
Était-ce un message ? Je décidais alors de saisir la balle au bond et lui dit :
— Dommage que Caroline soit avec nous ce soir car nous aurions pu en acheter un, ce n’est pas les endroits qui manquent à Toulon ou Marseille. D’ailleurs, mon idée était de t’emmener dans un de ces endroits pour choisir quelques petits trucs…
Marie rougit mais ne se démonta pas.
— Tu penses à quoi ?
— Tu m’as avoué avoir pensé à te faire poser un anneau sur une lèvre, moi je te propose des petites chaînes avec des petits poids au bout pour étirer encore un peu tes lèvres.
— Mais ça va pendre beaucoup ! T’es malade !!!
— ...